Maison de Repos – Chambre de J.R
John Ross : Tu ne devrais probablement pas mettre ça au loin comme ça, papa. Tu dois surveiller ta santé.
J.R : Je ne me suis jamais senti mieux. Marta... je dois aller parler à ton père. Je n'ai jamais conclu un marché avec un homme à qui je n'ai pas parlé personnellement. Mais ils ne me laisseront pas prendre des décisions internationales depuis ma chambre... Que dois-je faire à propos de ça ?
Marta Del Sol : Dès qu'il m'appelle, je le ferai sonner dans ta chambre.
J.R : Le plus tôt sera le mieux, ma chère. En parlant de contrats, C'est quoi le retard, John Ross ? Chaque jour qui passe sans que les papiers soient signé est un jour où le ciel pourrait chuté.
John Ross : Je m'en occupe.
J.R : Maintenant, écoute, fils. Bobby pense qu'il vend Southfork à la conservation Del Sol, mais il vend en fait à moi. Jusqu'à ce que je revoie les contrats et que Bobby les signe, on a pas de marché.
John Ross : Papa, je suis allé si loin sans tes conseils.
J.R : Ne commence pas maintenant. Tu as peut-être trouvé le pétrole, John Ross, mais je suis celui qui connaît Carlos Del Sol, et je suis celui qui va voler Southfork à Bobby. Tu t'assures juste d'obtenir une ébauche de ces papiers au plus vite... Tu as compris ? Et, fils... Ne perd jamais une occasion de te taire.
Infirmière : C'est l'heure de votre kinésithérapie, J.R.
J.R : Merci, Candy. Je serai dans ma chambre attendant l'appel de ton père.
Marta Del Sol : Pas de problèmes.
Marta Del Sol : Quand ce marché sera passé, toi et moi célébrerons comme on en avait l'habitude.
John Ross : Mais ne laissons pas le personnel interférer avec le professionnel maintenant, okay ? Si J.R. parle à Carlos, On est foutu.
Marta Del Sol : Assure-toi qu'il n'entre jamais en contact avec lui.
John Ross : Je gère.
Marta Del Sol : Pourquoi tu laisserais ton père t'agacer comme ça ?
John Ross : Je serai damné si je laisse jamais avoir le meilleur de moi.
Marta Del Sol : Il ne va pas le faire. Tu es celui qui va voler Southfork pour lui.
GENERIQUE
Appartement de Christopher et Pamela
Rebecca : Tu ne veux pas vraiment y aller, n'est-ce pas ?
Christopher : Qu'est-ce que tu veux dire ?
Rebecca : Et bien... Tu ne veux pas que ton père vende Southfork.
Christopher : Tu veux parler de ça ? Je ne sais pas. C'est.... C'est seulement qu'une minute, je lui dis que je ne suis pas à l'aise a lui demander un prêt, et... Et la minute d'après il vend notre maison familiale, pour financer une idée de business que je ne suis même pas sûr de pouvoir faire marcher.
Rebecca : Donc, pourquoi allons-nous à Tahiti ? Notre lune de miel peut attendre, Chris.
Bureau de Bobby
Bobby : Non. Non, Bill, au contraire, ça empire. Non, laisse l'opération pour mercredi. Je dois juste le dire à ma famille d'abord. Je dois y aller. Au revoir. Bon sang.
Ext. Southfork
Ann : Quand allais-tu me le dire ?
Bobby : Depuis quand es-tu au courant ?
Ann : J'ai trouvé tes médicaments avant le mariage.
Bobby : Je n'ai jamais pu te cacher grand-chose, n'est-ce pas ?
Ann : On fera ce qu'il faudra.
Bobby : Annie. Tu me connais. Je vais combattre ça avec ce tout ce que j'ai. Bill a programmé l'opération, c'est prévu mercredi. Mercr... C'est laparoscopique, donc je ne vais pas être cloué au lit longtemps du tout. On peut dire aux gens qu'on sera à Austin pour quelques jours.
Ann : Tu ne vas pas dire à Christopher que tu as un cancer ?
Bobby : Non, non. Et le faire revenir de sa lune de miel ? Non, chérie. Bill dit que les chances de rémission sont de 70% avec cette opération. Donc je vais aller bien.
Bureau de John Ross
John Ross : Pourquoi n'as-tu pas répondu à mes appels ?
Elena : Tu m'as envoyé ce mail ?
John Ross : "Je sais que j'aurais dû dire quelque chose plus tôt, mais je ne pense pas qu'on est fait l'un pour l'autre, Elena. Je t'aimerais toujours, mais nous sommes deux personnes vraiment différentes de circonstances très différentes. J'espère que tu comprends, mais je ne viendrai pas à notre rendez-vous demain. Christopher." Tu penses que j'ai envoyé ça ?
Elena : Qui d'autre avait des raisons de l'envoyer ?
John Ross : Christopher... C'est un fils de pute prétentieux qui pense que tu n'es pas assez bien pour lui.
Elena : Il m'a dit la nuit dernière qu'il ne l'avait pas envoyé !
John Ross : C'est de ça qu'il s'agissait. Et bien, il ment.
Elena : Pourquoi es-tu venu me chercher au Mexique ?
John Ross : Car j'avais entendu dire que tu avais rompu avec Christopher et qu'il partait en Chine. Je voulais voir si j'avais une chance avec toi. Je n'ai jamais caché le fait que je suis fou de toi, Elena.
Elena : Je veux que tu me dises la vérité, John Ross. As-tu envoyé ce mail ?
John Ross : Non. Bien sûr que non. Tu n'avais pas rompu avec lui. Tu allais l'épouser. Si tu n'avais pas reçu ce mail, tu serais mariée à Christopher. Tu me dis que la seule raison pour laquelle on est ensemble, c'est parce que quelqu'un t'a envoyé un mail prétendant être Christopher qui rompait avec toi ? Va te faire foutre !
Ext. Soutfork
Ann : Salut.
Tommy : Ça va, Mme Ewing ?
Ann : Tu ferais mieux de faire la conversation, Tommy, ou je pourrais juste déclenchez une inondation.
Tommy : De quoi devrais-je parler ?
Ann : Tu as des plans pendant que tu es ici à Dallas ?
Tommy : Bien... Maintenant que ma sœur est enfin installée, j'aimerais rester en ville, près d'elle. J'aimerais trouver un travail... Peut-être trouver la jugeote de me remettre à l'école, comme elle l'a fait. Becca est une sacrée femme, Mme Ewing. Attendez de mieux la connaitre.
Ann : Et bien... Ça serait sympas de t'avoir dans les environs toi aussi, Tommy.
Ext. Southfork
Bobby : Partout où on voit la rouille comme ça, grattons-le juste et repeignons.
Christopher : Tout va bien, papa. On a décidé de ne pas partir.
Bobby : Pourquoi ? Salut les gars.
Tim : Salut.
Bobby : Ecoute, Tim, pourquoi tu ne vérifies pas les autres granges pour la même chose et puis reviens me voir, ok ?
Tim : Compris, Mr Ewing.
Bobby : Alors, qu'as-tu à l'esprit ? Viens.
Christopher : J'apprécie que tu veuilles m'aider, ok ? Mais rien que de t'imaginer vendre notre maison pour m'aider à commencer mon business... Je ne suis pas d'accord avec ça.
Bobby : Je ne la vends pas seulement pour t'aider à démarrer, mon fils. Je vends... Parce que, si quelque chose devait m'arriver, je ne veux pas que toi et John Ross partiez en guerre pour Southefork comme J.R et moi l'avons fait.
Christopher : Mais tu vas bien. Je ne laisserais jamais quelque chose arriver à toi ou à notre famille, papa. Tu dois le savoir. Donc ce que tu me dis c'est que tu ne me fais pas confiance pour reprendre.
Bobby : Non, ce n'est pas ça.
Christopher : Si, ça l'est !
Bobby : Ma décision n'a rien à voir avec toi.
Christopher : Alors donne-moi une chance. Ok ? Laisse-moi te prouver que je peux faire ce travail. Je peux arranger mon brevet sur le gaz, et je peux garder ta promesse faite à Grand-Mère Ellie. Repense-y, papa.
Bobby : J'ai donné ma parole, fils. Et j'ai serré la main. Je suis désolé.
Int. Southfork
Rebecca : Ann, puis-je te parler de quelque chose ?
Ann : Bien sûr.
Rebecca : Je me sens un peu anxieuse. Je sais qu'Elena était gentille avec moi au diner. Mais alors John Ross m'a pris au dépourvu sur elle étant ma demoiselle d'honneur. Ensuite au magasin de noce, je... J'ai peur que le côté marie-salope ressorte. Je veux vraiment que Christopher soit heureux. Je... Je ne veux pas toujours regarder par-dessus mon épaule.
Ann : Chérie, Christopher t'aime, ou il ne t'aurait pas épousée. Tiens.
C'est une collection de toutes les recettes de la famille Ewing, datant de la mère de Mlle Ellie. Je veux juste que tu l'aie.
Rebecca : Merci. Merci.
Ann : Je sais ce que ça fait d'être une étrangère Rebecca.
Rebecca : Merci.
Bureau de Mitch Lobell
John Ross : Il va toujours le vendre ?
Mitch : Oui.
John Ross : Il n'y a rien que tu puisses faire ?
Mitch : C'est sûr que je vais essayer.
John Ross : C'est quoi le bordel avec le retard ?
Mitch : Maintenant, J.R. veut revoir ces papiers avant qu'ils soient envoyés à mon oncle ! Quand tu as commencé à forer à Southfork derrière le dos de ton oncle, tu es venu me demander si je te tiendrais informé de tout mouvement que ton oncle pourrait faire qui t'empêcherait de forer. Tu étais d'accord que ma participation... Au diable, soyons honnête... Ma trahison de Bobby Ewing, mon client depuis 30ans, valait 500,000$. J'ai t'ai refilé Southfork, John Ross. Tu penses vraiment que 500,000$ va suffire ?
John Ross : Je suis un homme raisonnable, Lobell.
Mitch : Tu m'as traité équitablement.
John Ross : Où est-ce que tu veux en venir ?
Mitch : Fils ... Si tu ne découvres pas un moyen de m'avoir 2 millions $ d'ici le bal des barons de bétail, non seulement je vais dire à Bobby que tu lui tends un piège, mais je vais dire à J.R. que tu as prévu de le pigeonner.
Bar de Dallas
John Ross : Ils ne servent pas de Saké dans ce bar, cousin. Ou peu importe ce qu'ils boivent en Chine. C'est mon bar.
Christopher : Autrefois c’était notre bar, John Ross... A l'époque où on grandissait. Tu te souviens ?
John Ross : Je ne me souviens pas de ça.
Christopher : Toi et moi, On a été dans les camps opposés depuis notre naissance. Et pour quoi ? Nous sommes une famille.
John Ross : Nous ne sommes pas une famille, frérot. Je suis un Ewing, au plus profond de mon ADN. Tout ce que je suis, tout ce pour quoi je mourrais, a le nom d'Ewing dessus.
Christopher : Lâche moi la grappe ! Tu n'as jamais tenu à notre famille. Tu utilises le nom d'Ewing pour avoir ce que tu veux. En parlant de choses que tu veux... Comment ça va avec Elena ? Ne me tourne pas le dos ! Peut-être qu'Elena croit que tu n'as pas envoyé ce mail, mais moi non. Donc tu ferais mieux d'avoir des yeux à l'arrière de ta tête, cousin, parce que je serais là.
John Ross : Connard.
Bureau de Sue Ellen
Sue Ellen : Johanna, c'est divin. Tout le monde les aimera ce soir. Merci. Tu as fait un magnifique travail.
Johanna : Merci, Mme Ewing.
Sue Ellen : Veux-tu m'excuser une minute ? Bonjour, Elena.
Elena : Bonjour.
Sue Ellen : Quelle bouffée d'air frais. Qu'est-ce qui t'amène ?
Elena : Il y a une ruée pétrolière en ce moment au Texas, Sue Ellen. Meilleures techniques d'exploration, meilleur équipement de forage. C'est pour ça que je suis là. Je crois que j'ai trouvé un océan de pétrole... Au moins un milliard de barils sous le vieux ranch Henderson. Mais la banque m'a refusé un prêt. Maintenant je sais, que tu fais partie du comité de la banque. J'ai besoin d'argent pour acheter quelques vieux baux pétroliers. Penses-tu que tu pourrais parler en mon nom au comité de la banque ?
Sue Ellen : Tu as toujours été une petite fille si déterminée et concentrée. J'étais si impressionnée par la façon dont tu as géré la mort tragique de ton père sur cette plate-forme pétrolière. Il serait très fier de toi Elena. Oublie la banque. Je vais te prêter l'argent. Je serais ravie de travailler avec une femme si intelligente et indépendante. Si je n'avais pas rencontré J.R., J'aime à penser que j'aurais pu être comme toi.
Elena : Je ne sais pas quoi dire. Merci.
Sue Ellen : Mes avocats rédigeront les papiers. Et... que dirais-tu de venir au bal des barons de bétail avec moi ce soir ? En tant que ma cavalière.
Bal des Barons de bétail
John Ross : Un déambulateur ? T’es sérieux, papa ?
J.R : Regarde et apprend.
Journalistes : J.R, J.R, J.R. Par ici. Par ici !
Sue Ellen : Une fois de plus, le Texas, a été incroyablement généreux envers l'American Cancer society. L'année dernière, on a récolté 32 millions de dollar. Donc, vous êtes tous prêts à entendre ce qu'on a récoltés jusqu'à présent ? Jusqu'à présent, ce soir, nous avons récolté ... 35 millions de dollar ! Et je sais que nous ne faisons que commencer. Donc, amusez-vous, que la fête commence, et surtout faites de nombreux dons.
J.R : Alors, quand vas-tu faire la course pour être gouverneur ? Elle le ferait, aussi. Crois-moi. Je le sais. Salut, Bobby, on dirait que tu viens de voir un fantôme.
Bobby : J.R., mais qu'est-ce que tu fais ici ?
J.R : Je suis content de te voir moi aussi. Non, non, je veux dire, juste une minute.
Bobby : Les garçons, je peux prendre cette chaise ?
Homme : Bien sûr.
Bobby : Assied-toi.
J.R : Merci. Merci. Ann.
Ann : J.R.
J.R : Je voulais te remercier pour m'avoir rendu visite tout ce temps. Je sais qu'on aurait dit que je ne pouvais pas entendre, mais je pouvais. J'étais juste... Trop déprimé pour le montrer. Je ne vais pas oublier ce que tu as fait pour moi, Bobby, ni ce que tu m'as dit surtout lors de ta dernière visite. Je pense que c'est ce qui m'a secoué. Cela signifiait énormément pour moi.
Bobby : C'est bon de te revoir, aussi. Ça fait un moment que tu n'as pas vu Ann, n'est-ce pas ?
J.R : Bobby parle un peu d'autre chose pendant ses visites. Pas de secret que je n'ai pas approuvé de la première Mme Bobby Ewing, mais tu es son âme sœur, Ann. Je suis heureux de t'avoir comme Belle-sœur.
Ann : Et bien, merci, J.R. C'est agréable d'être en compagnie d'une légende.
J.R : Principalement dans mon propre esprit, chérie.
Bobby : J.R., voici Marta Del Sol. Et, il y a certaines choses dont toi et moi devons discuter à propos de Southfork. La conservation de Del Sol.
J.R : Maman a choisi de te laisser le ranch, Bobby. John Ross m'a dit. Et avec du recul, je sais qu'elle a pris la bonne décision. Tu as toujours été celui qui avait une conscience. Tu ne me reconnais pas Bob, n'est-ce pas ?
Bobby : J'espère que ça ne va pas t'offenser frérot, mais non, je ne te reconnais pas.
J.R : John Ross, ne reste pas là. Excuse-toi auprès de ton oncle Bobby. Tu as créé un de ces vacarmes à Southfork.
John Ross : Je te présente mes excuses, Oncle Bobby.
J.R : J'aurais besoin d'un autre verre.
Bobby : Bien sûr. Je m’en occupe. Excusez-nous. On revient.
J.R : J'étais dans ma chambre toute l'après-midi. Ton père n'a jamais appelé.
Marta Del Sol : Il m’a envoyé un SMS. Il était à l'hôpital pour quelques petites retouches. Tu peux lui envoyer un mail si tu le souhaites.
J.R : Les vieux schnocks comme moi n'envoient pas de mail, chérie. On parle les uns aux autres, en personne.
Marta Del Sol : Il sortira de l'hôpital mardi. Tu pourras lui parler là.
J.R : Mardi se sera parfait, alors.
Bobby : Et voilà, J.R. Un petit quelque chose pour vous dépanner jusqu'à ce qu'ils commencent à servir le dîner.
J.R : Merveilleux. Pardonnez-moi. Il y a quelqu'un à qui j'ai voulu présenter mes excuses toute ma vie.
Sue Ellen : Profite de cette foutue chose. On a une certaine réserve d'argent. Après le scandale A.G... On n'a pas aimé le gars à côté sur le billet. Ce n'est pas le moment. Dis-nous juste où et quand. On déjeunera. J.R., que fais-tu ici ? Je pensais que tu n'allais pas assez bien pour quitter ta chambre.
J.R : Je suis juste venu pour te féliciter, et tu le mérites, chérie. Regarde-toi. Regarde-moi. Tu as gagné, chérie. Et je ne pourrais pas être plus content. Si tu me le demandes, tu ferais un sacré gouverneur. Et donc si je dis... que tu es toujours la plus belle fille du bal.
Elena : Ne pense pas que je ne suis plus en colère contre toi, car je le suis encore.
John Ross : Mais nous sommes encore partenaires ?
Elena : Je ne sais pas, John Ross. Le sommes-nous ?
John Ross : Bébé, on forme une super équipe. Tu as le scolaire, j'ai l'instinct. Tu ne sais même pas à quel point tu as besoin de moi. Et je sais que tu as besoin de moi.
Elena : Je recherchais du pétrole ancien afin de l'acheter. Je pense qu'ils peuvent encore être actifs. On a une relation de travail et bien sûr je vais honorer ça. J'ai juste... pensé qu'avec le mail, nous ne devrions pas...
John Ross : Je n'ai pas envoyé ce foutu mail, Elena.
Elena : Il n'y a pas d’autre explication John Ross.
John Ross : Que dis-tu ? Quand est-il de nous ?
Elena : Nous pouvons avoir une relation professionnelle. Mais au niveau personnel nous devrions faire une pause.
John Ross : Au fait, où as-tu eu l'argent pour acheter le matériel de forage ?
Elena : Ta mère me l'a prêté.
John Ross : Mon père arrive pour te parler. Je t'ai obtenu 100,000 $ comptant en premier. Garde juste ta bouche fermée.
Mitch : Je suppose que certaines personnes sont trop méchantes pour mourir.
J.R : Je suis aussi heureux de te voir, Mitch. John Ross m'a dit que tu es dans notre camp maintenant. Pourtant, je suis troublé par le retard. J'ai été dans les affaires toute ma vie. Rien de tel que le temps qui passe pour tuer un marché.
Mitch : Il n'y a pas de retard, J.R. Tu les auras bientôt. Les contrats sont compliqués.
J.R : C'est fantastique, Mitch. Il y avait toujours une personne que tu estimes parmi toutes les autres. Je déteste frapper un homme en-dessous de la ceinture, mais tu sais que je le ferai. Donne-moi juste ces foutus papiers. Car si ce marché vient à une fin difficile, je te tiendrais pour responsable.
Chambre d’Hôtel de Martal Del Sol
John Ross : Sans rancunes.
Marta Del Sol : Je pensais que tu avais dit que tu voulais garder notre relation professionnelle.
John Ross : Oui, mais c'était avant. Ça... ...c'est maintenant.
Marta Del Sol : Viens par ici.
John Ross : Attends, attends. Lobell menace de tout dire à J.R. J'ai besoin de 100,000 dollar rapidement.
Marta Del Sol : Ok. Tu te souviens de la dernière fois où nous étions amoureux, John Ross ?
John Ross : Oui. Evidemment que je m'en souviens. C'était une expérience incroyable. Mon whisky préféré.
Marta Del Sol : Seulement pour les occasions spéciales. J'espère que tu l'aimes. On a passé du bon temps à Vegas. La luxure... est une force puissante.
John Ross : Appeler ce que nous ressentons l'un pour Un sacré verre.
L’autre de la luxure... ...c'est presque insultant. C'était...
Marta Del Sol : J'ai besoin que tu sois certain... Parce qu'il n'y a pas de retour en arrière. Es-tu sûr de vouloir mélanger affaires et plaisir ?
Southfork – Chambre de Bobby & Ann
Bobby : Annie, tu es prête à y aller ? Chérie... Je vais bien. Dans six ou sept heures, toi et moi allons avoir un magnifique et gélatineux repas à l'hôpital. Je sais que tout va bien se passer.
Ann : Ce que je crains c'est que tu arrêtes de te battre. Tu vends Southfork car tu ne penses pas pouvoir être là pour protéger notre foyer, et tu es effrayé que Christopher ne soit pas prêt à prendre la relève.
Bobby : Je crois que Christopher l'a compris, aussi. Il est parti d'ici hier comme si je l'avais frappé moi-même dans le dos. Je ne savais pas quoi lui dire, Annie.
Ann : Tu dois dire à ton fils que tu as un cancer, Bobby. Laisse Christopher t'aider. Vendre la maison qui appartenait à ta famille depuis des siècles revient à abandonner ton combat pour vivre.
Bobby : Tu ne crois pas que tu exagères un peu tout ça ?
Ann : Si tu ne peux pas trouver la force de te battre contre la maladie... tu trouveras la force de te battre pour Southfork.
Chambre d’hotel de Marta Del Sol
John Ross : Qu'est-ce qu'on a fait la nuit dernière ?
Marta Del Sol : Je ne suis pas sûre que tu sois prêt à l'entendre.
John Ross : C'est un gros paquet d'argent, Marta. J'apprécie.
Marta Del Sol : Ça va te coûter une autre moitié de pour cent.
John Ross : Je peux vivre avec ça.
Marta Del Sol : Bien. Parce que... je me suis mouillée avec mes investisseurs, et je détesterais devoir leur dire que cet avocat Lobell cause des problèmes. D'où je viens, tu ne nourris pas un chient errant.
Ext. Southfork
Elena : Pourquoi n'es-tu pas en lune de miel ?
Christopher : Tu te souviens de ta thèse sur le pétrole et les inondations ? Je pense que je pourrais l'utiliser pour extraire le méthane des hydrates... Et empêchez une baisse soudaine du fond de la mer. Peux-tu m'aider ?
Elena : Si tu peux faire ça, ça change la donne.
Christopher : Je dois prouver que ça peut marcher en situation de laboratoire. Et je dois réparer ça pour prouver à mon père que je peux gérer Southfork pour qu'il n'ait pas à vendre. C'est pourquoi je n'y suis pas allé. Ecoute, euh... J'aurais vraiment besoin de ton aide. Alors qu'en penses-tu ? Peut-on travailler ensemble ?
Appartement de Christopher & Rebecca
Tommy : Devine quoi. Ann m'a offert un job au ranch. J'en suis. Je dois te l'accorder, sœurette. C'était un sacré tour de force que tu as sorti. Comment tu fais pour qu'un gars à mi-chemin revienne de Tahiti pendant sa lune de miel juqu'à Southfork ? Tu as dû faire quoi ?
Rebecca : Rien. Il ne voulait pas vraiment y aller. Tout semble être sur la bonne voie.
Tommy : Quel est le problème ? Tu es sensé fêter ça. Parfois je me demande... Quel est le but de tout ça.
Rebecca : Qu'est-ce que cela veut dire ?
Tommy : Tu sais quel est le but. On a passé les deux dernières années de notre vie à travailler sur ce projet. Il y a une tonne d'argent en jeu ici. Ne me dis pas que tu as des doutes.
Rebecca : Et si j'en avais ?
Tommy : Il vaut mieux garder tes yeux sur la balle, sœurette. Et ne t'habitue pas trop à être Mme Ewing.
Rebecca : Tu ne me donnes pas une mise en garde, si, Tommy ?
Tommy : Je te fais juste savoir que je te surveille. A notre succès mutuel.
Maison de repos – Chambre de J.R
J.R : Connais-tu l'origine du mot "peccadillo" ?
John Ross : Non.
J.R : C'est un diminutive du mot espagnol qui veut dire péché. C'est exactement ce que j'ai besoin que tu trouves sur Mitch Lobell.
John Ross : Ce fils de pute essaye de me faire chanter.
J.R : S'il y a une saleté à déterrer sur Mitch Lobell, je le trouverai.
John Ross : J'ai besoin que tu trouves autre chose pour moi.
J.R : Quoi donc, mon fils ?
John Ross : Une de mes amies... Elena Ramos... Elle a reçu un mail, il y a quelques années. J'ai besoin que tu découvres qui l'a envoyé. Elle pense que c'était moi, mais non.
J.R : Je peux faire ça.
John Ross : Bien.
J.R : Tu sais ce qu'on dit à Mexico ? "Mieux vaut être vieux qu'être le Diable."
Maison de Carlos Del Sol - Mexique
Gouvernante : Mr Ewing est là.
Carlos Del Sol : Quel plaisir de te revoir J.R.
J.R : C'est bon de te voir, Carlos ! J'ai essayé d'entrer en contact avec toi. Si on doit faire un deal, j'aime regarder un homme en face. Je suis un vieux schnock pour ça.
Carlos Del Sol : Je comprends totalement. Je garde toujours les registrer que mon père m'a fait garder quand il m'a payé 50 cents et fait de moi le comptable.
J.R : Tu as fait un sacré boulot en multipliant ces 50 cents. Quoi, numéro 2 sur le classement de Forbes ? Et, quoi... 50 milliards de dollars ?
Carlos Del Sol : Je ne garde pas trace de ces chose, J.R. entre. Quel est le marché dont tu parles ?
J.R : Le marché que j'ai fait avec ta fille, Marta. Le conservatoire Del Sol sert de façade pour l'achat de Southfork pour moi.
Carlos Del Sol : Je ne suis au courant d'aucun marché avec ma fille. Il y a du avoir un malentendu, non ?
J.R : Je ne pense pas. Le conservatoire Del Sol est en train d'acheter Southfork, et ensuite il me le retransmet dans 30 jours.
Carlos Del Sol : Voudrais-tu venir ici Marta ? Gracias, hija. Marta, te souviens-tu de J.R. Ewing ?
Marta Del Sol : Mr Ewing... JR. Vous veniez voir mon père avec votre petit garçon.
J.R : Bonté divine. Vous n'êtes en rien ce à quoi je m'attendais.
Carlos Del Sol : Quel marché as-tu avec Mr Ewing ?
J.R : Je suis désolé de vous avoir déranger, Carlos. Il semble que j'ai fait une terrible erreur ici. Et, Marta, Je vais devoir vous présenter à mon fils, John Ross. Il est fait du même bois.
Maison de Repos – Chambre de J.R
John Ross : Tu ne devrais probablement pas mettre ça au loin comme ça, papa. Tu dois surveiller ta santé.
J.R : Je ne me suis jamais senti mieux. Marta... je dois aller parler à ton père. Je n'ai jamais conclu un marché avec un homme à qui je n'ai pas parlé personnellement. Mais ils ne me laisseront pas prendre des décisions internationales depuis ma chambre... Que dois-je faire à propos de ça ?
Marta Del Sol : Dès qu'il m'appelle, je le ferai sonner dans ta chambre.
J.R : Le plus tôt sera le mieux, ma chère. En parlant de contrats, C'est quoi le retard, John Ross ? Chaque jour qui passe sans que les papiers soient signé est un jour où le ciel pourrait chuté.
John Ross : Je m'en occupe.
J.R : Maintenant, écoute, fils. Bobby pense qu'il vend Southfork à la conservation Del Sol, mais il vend en fait à moi. Jusqu'à ce que je revoie les contrats et que Bobby les signe, on a pas de marché.
John Ross : Papa, je suis allé si loin sans tes conseils.
J.R : Ne commence pas maintenant. Tu as peut-être trouvé le pétrole, John Ross, mais je suis celui qui connaît Carlos Del Sol, et je suis celui qui va voler Southfork à Bobby. Tu t'assures juste d'obtenir une ébauche de ces papiers au plus vite... Tu as compris ? Et, fils... Ne perd jamais une occasion de te taire.
Infirmière : C'est l'heure de votre kinésithérapie, J.R.
J.R : Merci, Candy. Je serai dans ma chambre attendant l'appel de ton père.
Marta Del Sol : Pas de problèmes.
Marta Del Sol : Quand ce marché sera passé, toi et moi célébrerons comme on en avait l'habitude.
John Ross : Mais ne laissons pas le personnel interférer avec le professionnel maintenant, okay ? Si J.R. parle à Carlos, On est foutu.
Marta Del Sol : Assure-toi qu'il n'entre jamais en contact avec lui.
John Ross : Je gère.
Marta Del Sol : Pourquoi tu laisserais ton père t'agacer comme ça ?
John Ross : Je serai damné si je laisse jamais avoir le meilleur de moi.
Marta Del Sol : Il ne va pas le faire. Tu es celui qui va voler Southfork pour lui.
GENERIQUE
Appartement de Christopher et Pamela
Rebecca : Tu ne veux pas vraiment y aller, n'est-ce pas ?
Christopher : Qu'est-ce que tu veux dire ?
Rebecca : Et bien... Tu ne veux pas que ton père vende Southfork.
Christopher : Tu veux parler de ça ? Je ne sais pas. C'est.... C'est seulement qu'une minute, je lui dis que je ne suis pas à l'aise a lui demander un prêt, et... Et la minute d'après il vend notre maison familiale, pour financer une idée de business que je ne suis même pas sûr de pouvoir faire marcher.
Rebecca : Donc, pourquoi allons-nous à Tahiti ? Notre lune de miel peut attendre, Chris.
Bureau de Bobby
Bobby : Non. Non, Bill, au contraire, ça empire. Non, laisse l'opération pour mercredi. Je dois juste le dire à ma famille d'abord. Je dois y aller. Au revoir. Bon sang.
Ext. Southfork
Ann : Quand allais-tu me le dire ?
Bobby : Depuis quand es-tu au courant ?
Ann : J'ai trouvé tes médicaments avant le mariage.
Bobby : Je n'ai jamais pu te cacher grand-chose, n'est-ce pas ?
Ann : On fera ce qu'il faudra.
Bobby : Annie. Tu me connais. Je vais combattre ça avec ce tout ce que j'ai. Bill a programmé l'opération, c'est prévu mercredi. Mercr... C'est laparoscopique, donc je ne vais pas être cloué au lit longtemps du tout. On peut dire aux gens qu'on sera à Austin pour quelques jours.
Ann : Tu ne vas pas dire à Christopher que tu as un cancer ?
Bobby : Non, non. Et le faire revenir de sa lune de miel ? Non, chérie. Bill dit que les chances de rémission sont de 70% avec cette opération. Donc je vais aller bien.
Bureau de John Ross
John Ross : Pourquoi n'as-tu pas répondu à mes appels ?
Elena : Tu m'as envoyé ce mail ?
John Ross : "Je sais que j'aurais dû dire quelque chose plus tôt, mais je ne pense pas qu'on est fait l'un pour l'autre, Elena. Je t'aimerais toujours, mais nous sommes deux personnes vraiment différentes de circonstances très différentes. J'espère que tu comprends, mais je ne viendrai pas à notre rendez-vous demain. Christopher." Tu penses que j'ai envoyé ça ?
Elena : Qui d'autre avait des raisons de l'envoyer ?
John Ross : Christopher... C'est un fils de pute prétentieux qui pense que tu n'es pas assez bien pour lui.
Elena : Il m'a dit la nuit dernière qu'il ne l'avait pas envoyé !
John Ross : C'est de ça qu'il s'agissait. Et bien, il ment.
Elena : Pourquoi es-tu venu me chercher au Mexique ?
John Ross : Car j'avais entendu dire que tu avais rompu avec Christopher et qu'il partait en Chine. Je voulais voir si j'avais une chance avec toi. Je n'ai jamais caché le fait que je suis fou de toi, Elena.
Elena : Je veux que tu me dises la vérité, John Ross. As-tu envoyé ce mail ?
John Ross : Non. Bien sûr que non. Tu n'avais pas rompu avec lui. Tu allais l'épouser. Si tu n'avais pas reçu ce mail, tu serais mariée à Christopher. Tu me dis que la seule raison pour laquelle on est ensemble, c'est parce que quelqu'un t'a envoyé un mail prétendant être Christopher qui rompait avec toi ? Va te faire foutre !
Ext. Soutfork
Ann : Salut.
Tommy : Ça va, Mme Ewing ?
Ann : Tu ferais mieux de faire la conversation, Tommy, ou je pourrais juste déclenchez une inondation.
Tommy : De quoi devrais-je parler ?
Ann : Tu as des plans pendant que tu es ici à Dallas ?
Tommy : Bien... Maintenant que ma sœur est enfin installée, j'aimerais rester en ville, près d'elle. J'aimerais trouver un travail... Peut-être trouver la jugeote de me remettre à l'école, comme elle l'a fait. Becca est une sacrée femme, Mme Ewing. Attendez de mieux la connaitre.
Ann : Et bien... Ça serait sympas de t'avoir dans les environs toi aussi, Tommy.
Ext. Southfork
Bobby : Partout où on voit la rouille comme ça, grattons-le juste et repeignons.
Christopher : Tout va bien, papa. On a décidé de ne pas partir.
Bobby : Pourquoi ? Salut les gars.
Tim : Salut.
Bobby : Ecoute, Tim, pourquoi tu ne vérifies pas les autres granges pour la même chose et puis reviens me voir, ok ?
Tim : Compris, Mr Ewing.
Bobby : Alors, qu'as-tu à l'esprit ? Viens.
Christopher : J'apprécie que tu veuilles m'aider, ok ? Mais rien que de t'imaginer vendre notre maison pour m'aider à commencer mon business... Je ne suis pas d'accord avec ça.
Bobby : Je ne la vends pas seulement pour t'aider à démarrer, mon fils. Je vends... Parce que, si quelque chose devait m'arriver, je ne veux pas que toi et John Ross partiez en guerre pour Southefork comme J.R et moi l'avons fait.
Christopher : Mais tu vas bien. Je ne laisserais jamais quelque chose arriver à toi ou à notre famille, papa. Tu dois le savoir. Donc ce que tu me dis c'est que tu ne me fais pas confiance pour reprendre.
Bobby : Non, ce n'est pas ça.
Christopher : Si, ça l'est !
Bobby : Ma décision n'a rien à voir avec toi.
Christopher : Alors donne-moi une chance. Ok ? Laisse-moi te prouver que je peux faire ce travail. Je peux arranger mon brevet sur le gaz, et je peux garder ta promesse faite à Grand-Mère Ellie. Repense-y, papa.
Bobby : J'ai donné ma parole, fils. Et j'ai serré la main. Je suis désolé.
Int. Southfork
Rebecca : Ann, puis-je te parler de quelque chose ?
Ann : Bien sûr.
Rebecca : Je me sens un peu anxieuse. Je sais qu'Elena était gentille avec moi au diner. Mais alors John Ross m'a pris au dépourvu sur elle étant ma demoiselle d'honneur. Ensuite au magasin de noce, je... J'ai peur que le côté marie-salope ressorte. Je veux vraiment que Christopher soit heureux. Je... Je ne veux pas toujours regarder par-dessus mon épaule.
Ann : Chérie, Christopher t'aime, ou il ne t'aurait pas épousée. Tiens.
C'est une collection de toutes les recettes de la famille Ewing, datant de la mère de Mlle Ellie. Je veux juste que tu l'aie.
Rebecca : Merci. Merci.
Ann : Je sais ce que ça fait d'être une étrangère Rebecca.
Rebecca : Merci.
Bureau de Mitch Lobell
John Ross : Il va toujours le vendre ?
Mitch : Oui.
John Ross : Il n'y a rien que tu puisses faire ?
Mitch : C'est sûr que je vais essayer.
John Ross : C'est quoi le bordel avec le retard ?
Mitch : Maintenant, J.R. veut revoir ces papiers avant qu'ils soient envoyés à mon oncle ! Quand tu as commencé à forer à Southfork derrière le dos de ton oncle, tu es venu me demander si je te tiendrais informé de tout mouvement que ton oncle pourrait faire qui t'empêcherait de forer. Tu étais d'accord que ma participation... Au diable, soyons honnête... Ma trahison de Bobby Ewing, mon client depuis 30ans, valait 500,000$. J'ai t'ai refilé Southfork, John Ross. Tu penses vraiment que 500,000$ va suffire ?
John Ross : Je suis un homme raisonnable, Lobell.
Mitch : Tu m'as traité équitablement.
John Ross : Où est-ce que tu veux en venir ?
Mitch : Fils ... Si tu ne découvres pas un moyen de m'avoir 2 millions $ d'ici le bal des barons de bétail, non seulement je vais dire à Bobby que tu lui tends un piège, mais je vais dire à J.R. que tu as prévu de le pigeonner.
Bar de Dallas
John Ross : Ils ne servent pas de Saké dans ce bar, cousin. Ou peu importe ce qu'ils boivent en Chine. C'est mon bar.
Christopher : Autrefois c’était notre bar, John Ross... A l'époque où on grandissait. Tu te souviens ?
John Ross : Je ne me souviens pas de ça.
Christopher : Toi et moi, On a été dans les camps opposés depuis notre naissance. Et pour quoi ? Nous sommes une famille.
John Ross : Nous ne sommes pas une famille, frérot. Je suis un Ewing, au plus profond de mon ADN. Tout ce que je suis, tout ce pour quoi je mourrais, a le nom d'Ewing dessus.
Christopher : Lâche moi la grappe ! Tu n'as jamais tenu à notre famille. Tu utilises le nom d'Ewing pour avoir ce que tu veux. En parlant de choses que tu veux... Comment ça va avec Elena ? Ne me tourne pas le dos ! Peut-être qu'Elena croit que tu n'as pas envoyé ce mail, mais moi non. Donc tu ferais mieux d'avoir des yeux à l'arrière de ta tête, cousin, parce que je serais là.
John Ross : Connard.
Bureau de Sue Ellen
Sue Ellen : Johanna, c'est divin. Tout le monde les aimera ce soir. Merci. Tu as fait un magnifique travail.
Johanna : Merci, Mme Ewing.
Sue Ellen : Veux-tu m'excuser une minute ? Bonjour, Elena.
Elena : Bonjour.
Sue Ellen : Quelle bouffée d'air frais. Qu'est-ce qui t'amène ?
Elena : Il y a une ruée pétrolière en ce moment au Texas, Sue Ellen. Meilleures techniques d'exploration, meilleur équipement de forage. C'est pour ça que je suis là. Je crois que j'ai trouvé un océan de pétrole... Au moins un milliard de barils sous le vieux ranch Henderson. Mais la banque m'a refusé un prêt. Maintenant je sais, que tu fais partie du comité de la banque. J'ai besoin d'argent pour acheter quelques vieux baux pétroliers. Penses-tu que tu pourrais parler en mon nom au comité de la banque ?
Sue Ellen : Tu as toujours été une petite fille si déterminée et concentrée. J'étais si impressionnée par la façon dont tu as géré la mort tragique de ton père sur cette plate-forme pétrolière. Il serait très fier de toi Elena. Oublie la banque. Je vais te prêter l'argent. Je serais ravie de travailler avec une femme si intelligente et indépendante. Si je n'avais pas rencontré J.R., J'aime à penser que j'aurais pu être comme toi.
Elena : Je ne sais pas quoi dire. Merci.
Sue Ellen : Mes avocats rédigeront les papiers. Et... que dirais-tu de venir au bal des barons de bétail avec moi ce soir ? En tant que ma cavalière.
Bal des Barons de bétail
John Ross : Un déambulateur ? T’es sérieux, papa ?
J.R : Regarde et apprend.
Journalistes : J.R, J.R, J.R. Par ici. Par ici !
Sue Ellen : Une fois de plus, le Texas, a été incroyablement généreux envers l'American Cancer society. L'année dernière, on a récolté 32 millions de dollar. Donc, vous êtes tous prêts à entendre ce qu'on a récoltés jusqu'à présent ? Jusqu'à présent, ce soir, nous avons récolté ... 35 millions de dollar ! Et je sais que nous ne faisons que commencer. Donc, amusez-vous, que la fête commence, et surtout faites de nombreux dons.
J.R : Alors, quand vas-tu faire la course pour être gouverneur ? Elle le ferait, aussi. Crois-moi. Je le sais. Salut, Bobby, on dirait que tu viens de voir un fantôme.
Bobby : J.R., mais qu'est-ce que tu fais ici ?
J.R : Je suis content de te voir moi aussi. Non, non, je veux dire, juste une minute.
Bobby : Les garçons, je peux prendre cette chaise ?
Homme : Bien sûr.
Bobby : Assied-toi.
J.R : Merci. Merci. Ann.
Ann : J.R.
J.R : Je voulais te remercier pour m'avoir rendu visite tout ce temps. Je sais qu'on aurait dit que je ne pouvais pas entendre, mais je pouvais. J'étais juste... Trop déprimé pour le montrer. Je ne vais pas oublier ce que tu as fait pour moi, Bobby, ni ce que tu m'as dit surtout lors de ta dernière visite. Je pense que c'est ce qui m'a secoué. Cela signifiait énormément pour moi.
Bobby : C'est bon de te revoir, aussi. Ça fait un moment que tu n'as pas vu Ann, n'est-ce pas ?
J.R : Bobby parle un peu d'autre chose pendant ses visites. Pas de secret que je n'ai pas approuvé de la première Mme Bobby Ewing, mais tu es son âme sœur, Ann. Je suis heureux de t'avoir comme Belle-sœur.
Ann : Et bien, merci, J.R. C'est agréable d'être en compagnie d'une légende.
J.R : Principalement dans mon propre esprit, chérie.
Bobby : J.R., voici Marta Del Sol. Et, il y a certaines choses dont toi et moi devons discuter à propos de Southfork. La conservation de Del Sol.
J.R : Maman a choisi de te laisser le ranch, Bobby. John Ross m'a dit. Et avec du recul, je sais qu'elle a pris la bonne décision. Tu as toujours été celui qui avait une conscience. Tu ne me reconnais pas Bob, n'est-ce pas ?
Bobby : J'espère que ça ne va pas t'offenser frérot, mais non, je ne te reconnais pas.
J.R : John Ross, ne reste pas là. Excuse-toi auprès de ton oncle Bobby. Tu as créé un de ces vacarmes à Southfork.
John Ross : Je te présente mes excuses, Oncle Bobby.
J.R : J'aurais besoin d'un autre verre.
Bobby : Bien sûr. Je m’en occupe. Excusez-nous. On revient.
J.R : J'étais dans ma chambre toute l'après-midi. Ton père n'a jamais appelé.
Marta Del Sol : Il m’a envoyé un SMS. Il était à l'hôpital pour quelques petites retouches. Tu peux lui envoyer un mail si tu le souhaites.
J.R : Les vieux schnocks comme moi n'envoient pas de mail, chérie. On parle les uns aux autres, en personne.
Marta Del Sol : Il sortira de l'hôpital mardi. Tu pourras lui parler là.
J.R : Mardi se sera parfait, alors.
Bobby : Et voilà, J.R. Un petit quelque chose pour vous dépanner jusqu'à ce qu'ils commencent à servir le dîner.
J.R : Merveilleux. Pardonnez-moi. Il y a quelqu'un à qui j'ai voulu présenter mes excuses toute ma vie.
Sue Ellen : Profite de cette foutue chose. On a une certaine réserve d'argent. Après le scandale A.G... On n'a pas aimé le gars à côté sur le billet. Ce n'est pas le moment. Dis-nous juste où et quand. On déjeunera. J.R., que fais-tu ici ? Je pensais que tu n'allais pas assez bien pour quitter ta chambre.
J.R : Je suis juste venu pour te féliciter, et tu le mérites, chérie. Regarde-toi. Regarde-moi. Tu as gagné, chérie. Et je ne pourrais pas être plus content. Si tu me le demandes, tu ferais un sacré gouverneur. Et donc si je dis... que tu es toujours la plus belle fille du bal.
Elena : Ne pense pas que je ne suis plus en colère contre toi, car je le suis encore.
John Ross : Mais nous sommes encore partenaires ?
Elena : Je ne sais pas, John Ross. Le sommes-nous ?
John Ross : Bébé, on forme une super équipe. Tu as le scolaire, j'ai l'instinct. Tu ne sais même pas à quel point tu as besoin de moi. Et je sais que tu as besoin de moi.
Elena : Je recherchais du pétrole ancien afin de l'acheter. Je pense qu'ils peuvent encore être actifs. On a une relation de travail et bien sûr je vais honorer ça. J'ai juste... pensé qu'avec le mail, nous ne devrions pas...
John Ross : Je n'ai pas envoyé ce foutu mail, Elena.
Elena : Il n'y a pas d’autre explication John Ross.
John Ross : Que dis-tu ? Quand est-il de nous ?
Elena : Nous pouvons avoir une relation professionnelle. Mais au niveau personnel nous devrions faire une pause.
John Ross : Au fait, où as-tu eu l'argent pour acheter le matériel de forage ?
Elena : Ta mère me l'a prêté.
John Ross : Mon père arrive pour te parler. Je t'ai obtenu 100,000 $ comptant en premier. Garde juste ta bouche fermée.
Mitch : Je suppose que certaines personnes sont trop méchantes pour mourir.
J.R : Je suis aussi heureux de te voir, Mitch. John Ross m'a dit que tu es dans notre camp maintenant. Pourtant, je suis troublé par le retard. J'ai été dans les affaires toute ma vie. Rien de tel que le temps qui passe pour tuer un marché.
Mitch : Il n'y a pas de retard, J.R. Tu les auras bientôt. Les contrats sont compliqués.
J.R : C'est fantastique, Mitch. Il y avait toujours une personne que tu estimes parmi toutes les autres. Je déteste frapper un homme en-dessous de la ceinture, mais tu sais que je le ferai. Donne-moi juste ces foutus papiers. Car si ce marché vient à une fin difficile, je te tiendrais pour responsable.
Chambre d’Hôtel de Martal Del Sol
John Ross : Sans rancunes.
Marta Del Sol : Je pensais que tu avais dit que tu voulais garder notre relation professionnelle.
John Ross : Oui, mais c'était avant. Ça... ...c'est maintenant.
Marta Del Sol : Viens par ici.
John Ross : Attends, attends. Lobell menace de tout dire à J.R. J'ai besoin de 100,000 dollar rapidement.
Marta Del Sol : Ok. Tu te souviens de la dernière fois où nous étions amoureux, John Ross ?
John Ross : Oui. Evidemment que je m'en souviens. C'était une expérience incroyable. Mon whisky préféré.
Marta Del Sol : Seulement pour les occasions spéciales. J'espère que tu l'aimes. On a passé du bon temps à Vegas. La luxure... est une force puissante.
John Ross : Appeler ce que nous ressentons l'un pour Un sacré verre. L’autre de la luxure... ...c'est presque insultant. C'était...
Marta Del Sol : J'ai besoin que tu sois certain... Parce qu'il n'y a pas de retour en arrière. Es-tu sûr de vouloir mélanger affaires et plaisir ?
Southfork – Chambre de Bobby & Ann
Bobby : Annie, tu es prête à y aller ? Chérie... Je vais bien. Dans six ou sept heures, toi et moi allons avoir un magnifique et gélatineux repas à l'hôpital. Je sais que tout va bien se passer.
Ann : Ce que je crains c'est que tu arrêtes de te battre. Tu vends Southfork car tu ne penses pas pouvoir être là pour protéger notre foyer, et tu es effrayé que Christopher ne soit pas prêt à prendre la relève.
Bobby : Je crois que Christopher l'a compris, aussi. Il est parti d'ici hier comme si je l'avais frappé moi-même dans le dos. Je ne savais pas quoi lui dire, Annie.
Ann : Tu dois dire à ton fils que tu as un cancer, Bobby. Laisse Christopher t'aider. Vendre la maison qui appartenait à ta famille depuis des siècles revient à abandonner ton combat pour vivre.
Bobby : Tu ne crois pas que tu exagères un peu tout ça ?
Ann : Si tu ne peux pas trouver la force de te battre contre la maladie... tu trouveras la force de te battre pour Southfork.
Chambre d’hotel de Marta Del Sol
John Ross : Qu'est-ce qu'on a fait la nuit dernière ?
Marta Del Sol : Je ne suis pas sûre que tu sois prêt à l'entendre.
John Ross : C'est un gros paquet d'argent, Marta. J'apprécie.
Marta Del Sol : Ça va te coûter une autre moitié de pour cent.
John Ross : Je peux vivre avec ça.
Marta Del Sol : Bien. Parce que... je me suis mouillée avec mes investisseurs, et je détesterais devoir leur dire que cet avocat Lobell cause des problèmes. D'où je viens, tu ne nourris pas un chient errant.
Ext. Southfork
Elena : Pourquoi n'es-tu pas en lune de miel ?
Christopher : Tu te souviens de ta thèse sur le pétrole et les inondations ? Je pense que je pourrais l'utiliser pour extraire le méthane des hydrates... Et empêchez une baisse soudaine du fond de la mer. Peux-tu m'aider ?
Elena : Si tu peux faire ça, ça change la donne.
Christopher : Je dois prouver que ça peut marcher en situation de laboratoire. Et je dois réparer ça pour prouver à mon père que je peux gérer Southfork pour qu'il n'ait pas à vendre. C'est pourquoi je n'y suis pas allé. Ecoute, euh... J'aurais vraiment besoin de ton aide. Alors qu'en penses-tu ? Peut-on travailler ensemble ?
Appartement de Christopher & Rebecca
Tommy : Devine quoi. Ann m'a offert un job au ranch. J'en suis. Je dois te l'accorder, sœurette. C'était un sacré tour de force que tu as sorti. Comment tu fais pour qu'un gars à mi-chemin revienne de Tahiti pendant sa lune de miel juqu'à Southfork ? Tu as dû faire quoi ?
Rebecca : Rien. Il ne voulait pas vraiment y aller. Tout semble être sur la bonne voie.
Tommy : Quel est le problème ? Tu es sensé fêter ça. Parfois je me demande... Quel est le but de tout ça.
Rebecca : Qu'est-ce que cela veut dire ?
Tommy : Tu sais quel est le but. On a passé les deux dernières années de notre vie à travailler sur ce projet. Il y a une tonne d'argent en jeu ici. Ne me dis pas que tu as des doutes.
Rebecca : Et si j'en avais ?
Tommy : Il vaut mieux garder tes yeux sur la balle, sœurette. Et ne t'habitue pas trop à être Mme Ewing.
Rebecca : Tu ne me donnes pas une mise en garde, si, Tommy ?
Tommy : Je te fais juste savoir que je te surveille. A notre succès mutuel.
Maison de repos – Chambre de J.R
J.R : Connais-tu l'origine du mot "peccadillo" ?
John Ross : Non.
J.R : C'est un diminutive du mot espagnol qui veut dire péché. C'est exactement ce que j'ai besoin que tu trouves sur Mitch Lobell.
John Ross : Ce fils de pute essaye de me faire chanter.
J.R : S'il y a une saleté à déterrer sur Mitch Lobell, je le trouverai.
John Ross : J'ai besoin que tu trouves autre chose pour moi.
J.R : Quoi donc, mon fils ?
John Ross : Une de mes amies... Elena Ramos... Elle a reçu un mail, il y a quelques années. J'ai besoin que tu découvres qui l'a envoyé. Elle pense que c'était moi, mais non.
J.R : Je peux faire ça.
John Ross : Bien.
J.R : Tu sais ce qu'on dit à Mexico ? "Mieux vaut être vieux qu'être le Diable."
Maison de Carlos Del Sol - Mexique
Gouvernante : Mr Ewing est là.
Carlos Del Sol : Quel plaisir de te revoir J.R.
J.R : C'est bon de te voir, Carlos ! J'ai essayé d'entrer en contact avec toi. Si on doit faire un deal, j'aime regarder un homme en face. Je suis un vieux schnock pour ça.
Carlos Del Sol : Je comprends totalement. Je garde toujours les registrer que mon père m'a fait garder quand il m'a payé 50 cents et fait de moi le comptable.
J.R : Tu as fait un sacré boulot en multipliant ces 50 cents. Quoi, numéro 2 sur le classement de Forbes ? Et, quoi... 50 milliards de dollars ?
Carlos Del Sol : Je ne garde pas trace de ces chose, J.R. entre. Quel est le marché dont tu parles ?
J.R : Le marché que j'ai fait avec ta fille, Marta. Le conservatoire Del Sol sert de façade pour l'achat de Southfork pour moi.
Carlos Del Sol : Je ne suis au courant d'aucun marché avec ma fille. Il y a du avoir un malentendu, non ?
J.R : Je ne pense pas. Le conservatoire Del Sol est en train d'acheter Southfork, et ensuite il me le retransmet dans 30 jours.
Carlos Del Sol : Voudrais-tu venir ici Marta ? Gracias, hija. Marta, te souviens-tu de J.R. Ewing ?
Marta Del Sol : Mr Ewing... JR. Vous veniez voir mon père avec votre petit garçon.
J.R : Bonté divine. Vous n'êtes en rien ce à quoi je m'attendais.
Carlos Del Sol : Quel marché as-tu avec Mr Ewing ?
J.R : Je suis désolé de vous avoir déranger, Carlos. Il semble que j'ai fait une terrible erreur ici. Et, Marta, Je vais devoir vous présenter à mon fils, John Ross. Il est fait du même bois.
Rédigé par sabby