CHEZ JOHN ROSS
J.R : Je suis content de voir que tu t'accroches à ce qui est important.
John Ross : Tu as toujours dit qu'un jour j'aurais de vraies choses pour moi.
J.R : Et une fois qu'on se sera occupés de Lobell, on aura Southfork. Je suis rentré en contact avec un ancien ami à moi, pour qu'il fasse plus de recherches sur le fils de Lobell Depuis que ta minette nous a laissé tomber, il s'avère que ce fils n'a jamais "nettoyé" ses actes après avoir pris la fuite. Il a développé un assez sain problème de drogues, a même été accusé deux fois pour possession de drogues.
John Ross : Ce sont deux coups, et c'est le Texas ?
J.R : Si on a d'autres preuves qui l'impliquent encore une fois dans un crime, on pourra menacer Lobell de mettre son fils en prison pour une longue durée. Lobell ne prend pas de risque quand il s'agit de son fils. Ce qui veux dire le piéger. Je ne vois pas d'autres choix. Voilà comment le trouver. Apparemment, il a un faible pour les jolies femmes. Tu peux demander à Marta de nous aider.
John Ross : Euh, ouais. Je ne veux pas me servir d'elle.
J.R : Les choses deviennent sérieuses entre vous ?
John Ross : Pas de mon côté. Mais, euh, elle devient un peu collante.
J.R : Et tu préferais etre attaché à quelqu'un d'autre? Cette fille mexicaine ?
John Ross : Elle s'appelle Elena. Et... non. Je pense que c'est fini.
J.R : Si tu ne veux pas utiliser Marta, tu trouves quelqu'un d'autre de confiance, mais rapidement.
Chez Christopher & Rebecca
Rebecca (au téléphone) : Allo ?
John Ross (au téléphone) : C'est John Ross. Je pense qu'on devrait se rejoindre plus tard.
Rebecca (au téléphone) : Pourquoi ?
John Ross (au téléphone) : Il est temps qu'on ait une petite discussion à propos de cet e-mail que tu as envoyé à Elena. Celui qui l'a fait rompre avec Christopher.
********** Générique **********
Chez John Ross
Bum : Cette info que tu voulais sur Marta.
John Ross : Donne-moi juste les grandes lignes.
Bum : Son vrai nom est Veronica Martinez. Et ne brise pas son cœur. On lui a diagnostiqué le syndrôme de la bipolarité, deux arrestations pour avoir traqué ses ex petits copains. Elle s'en est pris à l'un d'eux avec un couteau de dépeçage. Elle a convaincu le jury que c'était de l'auto-défense.
J.R : Et bien, je dirais que quand il est question de jalousie, notre fille est plus folle qu'un rat de toilettes publiques.
Bum : Ouf, j'espère que je ne suis pas au mauvais bout de ce sourire, J.R.
J.R : Maintenant que John Ross a fait signer Bobby pour qu'il donne son ranch à la Conservation Del Sol, je pense qu'il est temps pour moi de revendiquer mes droits de naissance.
Bum : Qu'est-ce que tu veux que je fasse? Mon fils et Marta sont engagés, mais il n'a d'yeux que pour Elena Ramos.
SOUTHFORK - CUISINE
Ann : Qu'est-ce que tu en penses ? As-tu vu la collection d'argent de Mme Ellie?
Tommy : Non, mais j'y garderais un œil dessus.
Ann : Oh, désolée, Tommy. J'ai cru que tu étais unes des mains de la maison.
Tommy : Si ça veut dire que j'ai une place ici, j'accepterai le compliment. Je ne me remets toujours pas de comment vous et Mr Ewing avez été gentils en me laissant séjourner ici. Je veux dire, particulièrement avec tous les cartons Et le barbecue annuel qui arrive. Vous allez quitter finalement le style "Big-Texas". Le style Big-Texas est bien.
Ann : Il semblerait que toutes les personnes ayant mis un pied à Southfork reviennent pour dire au revoir... J'espère juste que j'aurai tout fini à
Tommy : Peu importe ce dont vous avez besoin, vous savez, juste...
Christopher : Ouf, je meurs de faim. J'ai dû bougé 1000 têtes de bétail ce matin. Je vois que tu as bougé une boîte.
Tommy : En fait j'en ai bougé deux.
Christopher : Bien.
Carmen : Tenez les garçons. Déjeunez. Eh, eh, ralenti et apprécie la nourriture, hijo. J'ai l'impression que je te dis ça depuis que tu as 5 ans.
Ann : Vous avez tout fini avec le rassemblement ?
Bobby : On y vient. Comment ça se passe ici ?
Ann : Ce n'est pas facile de se préparer pour le dernier « hourra » pendant qu'on emballe tout.
Bobby : Oui, mais ce sera bien de voir tout le monde.
Ann : J'ai besoin de ton aide pour regarder dans les affaires de ta mère et de ton père.
Bobby : Eh bien, ça, euh, ça devra attendre. Il y a trop de chose à faire au ranch avant que je donne Southfork à la conservation.
Ann : Nous avons besoin de décider ce que nous prenons pour le condominium avec nous, Bobby. Tu ne peux pas faire ça ? Il y a tes affaires de famille.
Bobby : Alors ça devra attendre.
Elena : J'espère que je n'interromps rien.
Ann : Non, non, rentre et joins toi à nous.
Elena : Merci. Je dois parler à Christopher à propos de son projet avec le méthane.
Christopher : Qu'est ce qui se passe?
Elena : Quelques offres sont venues pour un test à plus grande échelle de la réparation par injection de CO2.
Christopher : Oh, bien. Laisse-moi voir. Ce gars est bien plus cher que les autres.
Elena : Une idée de la cause?
Christopher : Oui. Son mot d'ordre est, il est bon marché car il est rapide. Dans le business de l'hydrocarbure, bon marché et rapide vous rend bon et mort. Le gars du centre a la meilleure réputation. On dirait qu'il y en a deux qui viennent du centre.
Elena : Lequel ?
Christopher : Ce gars.
Rebecca : On dirait que je suis la dernière debout.
Carmen : Assieds-toi. Je vais de servir une assiette.
Rebecca : C'est bon. Vous avez l'air occupé de toute façon.
Christopher : Non, Elena me montrait juste quelques trucs pour le boulot. C'est tout.
Elena : Nous pouvons faire ça à un autre moment.
Rebecca : Non, vraiment, je n'ai pas faim. Je dois aller à la librairie de droit. Je t'appellerai plus tard.
Christopher : Ok.
Tommy : Si je connaissais ma sœur, je dirais qu’elle flippe probablement à cause de son examen au barreau du Texas.
Christopher : Arrêtons juste avec les offres. Je dois y aller dans tous les cas. Le bétail a détruit une clôture qui a besoin d'être réparée.
Ann : Bobby, tu peux venir m'aider dans le bureau avec les affaires de Jock ?
Bobby : Chéri, Christopher va avoir besoin de mon aide.
BUREAU DE SUE ELLEN
Sue Ellen : J.R. ?
J.R : Je voulais juste passer un petit bonne chance porte bonheur pour ta campagne. J'ai trouvé les perles de miss Ellie quand je faisais les cartons à Southfork.
Cliff : Eh bien, qu'est-ce que nous avons là ? Un ange parlant au démon.
J.R : Qu'est-ce qu'il fait ici ?
Sue Ellen : Bien, pas que ce soit de tes affaires, J.R... j'ai entendu qu'il était en ville et je me suis dit que j'avais besoin d'un petit conseil politique.
Cliff : Et j'étais content d'aider. Ce n’était pas une bonne surprise de te voir à Souhfork la semaine dernière.
J.R : Tu dois avoir perdu ton minuscule esprit pour croire que Bobby te vendrait le ranch.
Cliff : Je n'arrêterai jamais de me battre pour ce qui me revient de droit, et je sais que tu penses la même chose.
J.R : Je suis un homme changé, Cliff. La preuve est que tu ne déroules pas le tapis rouge ici avec deux jambes cassées. Maintenant que Bobby a vendu Southfork, tu peux aller de l'avant et quitter la ville. Il ne reste rien à faire pour toi à Dallas.
Cliff : Eh bien, quand tu as plusieurs milliards de dollars, J.R., tu peux faire ce que tu veux, quand tu veux. On y va ?
J.R : Tu vas vraiment rompre le pain avec cette crapule ?
Sue Ellen : Tu as perdu le droit de dire avec qui je déjeune il y a très longtemps.
DALLAS
Rebecca : Je t'ai dit au téléphone, que je ne savais rien à propos d'aucun e-mail.
John Ross : Peut-être que ceci va te rafraîchir la mémoire. Quelqu'un a retracé ça pour moi de ton adresse IP. Tu sais vraiment comment briser le cœur d'une fille. Cette chose que tu as écrite était vraiment méchante.
Rebecca : Je ne l'ai pas envoyé. Je le jure.
John Ross : Si c'est vrai, alors pourquoi es-tu venue ?
Rebecca : Je suis venue car tu m'accuse de quelque chose que je n'ai pas fait.
John Ross : Tu vas devoir être bien plus convaincante que ça si tu veux que Christopher te croit.
Rebecca : Non, tu ne peux pas lui montrer ça.
John Ross : Je ne veux pas avoir à le faire. Ça dépend de toi.
Rebecca : Mais je ne l'ai pas envoyé.
John Ross : La preuve est dans tes mains. Maintenant j'ai besoin que tu fasses quelque chose pour moi.
Rebecca : Que veux-tu que je fasse ?
John Ross : Ce gars est un drogué. J'ai besoin que tu prennes des photos de lui prenant de la drogue.
Rebecca : Tu n’es pas sérieux. Comment suis-je censé y arriver ?
John Ross : Maintenant, Rebecca, tu me parait comme étant une femme avec beaucoup de ressources. Je suis sûr que tu t'en sortiras. Et une fois que tu l'auras fait, je te laisserai t'en aller avec peu importe quelle arnaque tu essayes d'avoir mon imbécile de cousin.
DALLAS - BAR
John Ross : Ne devrais-tu pas être au laboratoire avec Christopher, en train de travailler sur votre projet d'énergie alternative ?
Elena : Je ne suis pas venue ici pour me battre, John Ross. Je suis venue pour parler affaires.
John Ross : Eh bien, notre business ensemble s'est terminé quand tu as arrêté de me faire confiance.
Elena : Je pourrais toujours avec besoin de ton aide.
John Ross : J'ai trouvé un vieux puits sur les terres de Miss Henderson. Si je vais un peu plus profond,je percuterai un autre réservoir de pétrole
Elena : J'attends juste le "mais."
John Ross : Miss Henderson ne veut pas m'écouter jusqu'au bout. Tu es bien meilleure que moi avec les gens.
Elena : Qu'est-ce qu'il y a dedans pour moi ? Tu bois tout seul, à 2h de l'après-midi. Tu crois pas qu'il est temps que tu arrêtes de faire des forages à Southfork et que tu sortes de ce bar ? Crois moi, ça te va mieux d'être pétrolier que pilier de bar.
John Ross : J'ai toujours cette miss Henderson.
EXT. SOUTHFORK
Bobby : Christopher, il n'y a rien dont tu veuilles me parler ?
Christopher : Non.
Bobby : Est-ce que tout va bien entre toi et Rebecca ?
Christopher : Oui. Pourquoi ?
Bobby : Ça a juste eu l'air bizarre ce matin quand elle est descendue et vous a vu assis toi et Elena. Ça doit être compliqué d'avoir ton ex-copine et ta femme si proches. Tu sais, quand Ann et moi nous sommes mariés elle ne se sentait pas en sécurité vis à vis de ta mère. Tu ne peux pas résoudre le problème en évitant la situation.
Cowboy : Mr Ewing ! La vache enceinte s'est isolée elle même dans la grange.
Bobby : On dirait qu'elle a des problèmes.
Christopher : Attend. Je viens avec toi.
CHEZ MME HENDERSON
John Ross : Madame Henderson.
Mme Henderson : John Ross Ewing. La dernière que je t'ai vu, je te pourchassais pour avoir renversé mon bétail.
John Ross : Eh bien, j'essayais juste de vous énerver. Elle est la femme la plus sexy de tout le comté de Dallas quand elle est folle. Pourriez-vous nous accorder 10 minutes de votre temps ? Je promets, ça en vaudra la peine.
Mme Henderson : Oh, tu as hérité du charme de ton père. Espérons que tu n'as pas hérité de ses mœurs. Entrez.
EXT. SOUTHFORK
John Ross : Je savais qu’avec Madame Henderson serait du gâteau. La tête du puits a l'air en bonne forme. Le registre dit qu'ils ont arrêté de percer à 8000 pieds. Si on perce de 2000 pieds en plus, nous atteindrons la prochaine zone productive. L'infrastructure est déjà en place. Ça ne devrait pas prendre une semaine.
Elena : Je dois donner à Sue Ellen une estimation de ce que ça me coûtera d'engager une équipe. Aucune chance que tu viennes avec moi pour la voir ?
John Ross : Eh bien, je ne peux pas te garantir que je serai cordial.
Elena : John Ross !
John Ross : Oh, c'était un accident. Mm-hmm.
Elena : Oh !
John Ross : Ok, ça c'était fait exprès.
Elena : Stop. Stop !
John Ross : Ok, bien, je vais arrêter.
Elena : Hey ! Je devrais retourner travailler.
Bum : J.R., c'est Bum. J'ai finalement eu quelque chose sur ton garçon.
DALLAS – BUREAU DE SUE ELLEN
Elena : Nous aurons besoin de seulement cinq jours pour le paiement. Donc j'ai besoin de 75000$ pour la foreuse.
Sue Ellen : Je le transfèrerai sur ton compte dans la journée.
Elena : Merci, Sue Ellen.
Sue Ellen : Avec plaisir. John Ross, puis-je te parler dans mon bureau maintenant, s'il te plaît ?
John Ross : Au moins je suis contente que tous les deux vous soyez de nouveau en affaire ensemble, quand même.
Sue Ellen : Elle m'as demandé une faveur. C'est tout. J'ai entendu que tu voyais de nouveau ton père.
John Ross : Tu es jalouse, mère ?
Sue Ellen : Non, juste concernée. Penses-tu qu'il ait réellement changé, John Ross ?
John Ross : Je sais qu'il m’apprend enfin le business du pétrole. Juste comme il me l’avait toujours promis.
Sue Ellen : Eh bien, je suis contente.
SOUTHFORK - ETABLES
Cowboy : Bobby: Doucement.
Christopher : Papa.
Bobby : Hey.
Christopher : Comment va t-elle ?
Bobby : Elle travaille très dur et elle ne va nulle par toute seule. Je pense qu'on va devoir l'aider ici. Passe-moi ceux-ci.
Cowboy : Très bien.
Christopher : Cette chose à propos de Elena et Rebecca... Je me sens mal à propos de ça. Et parler avec toi, surtout toi. Je ne veux pas que tu sois déçu de moi.
Bobby : Ce n'est pas possible, fiston.
Christopher : Il y a 2 ans, Elena et moi avons décidé de nous enfuir. Mais la nuit où nous devions nous en aller, elle ne s'est jamais montrée. Aucune explication. Elle était juste partie. Et alors juste avant que Rebecca et moi nous sommes mariés, j'ai découvert ce qui s'était réellement passé. Elena a reçu un e-mail cette nuit-là, supposé de moi, rompant avec elle. John Ross l'a envoyé. Il a hacké mon compte. Il nous a séparés.
Bobby : Elena sait-elle que tu ne lui a pas envoyé l'e-mail ?
Christopher : Elle le sait maintenant.
Bobby : Oh, fiston, tu as dû traverser l'enfer. Tous les deux.
Christopher : J'aime Rebecca. Vraiment. Et je veux être un bon mari plus qu'autre chose. Mais depuis que j'ai découvert pourquoi Elena était partie, je n'arrête pas de penser à quoi ça aurait pu ressembler.
Bobby : Et tu ne me l'as pas dit car tu pensais que j'allais te juger ?
Christopher : Non. Parce que je savais que tu allais me dire la bonne chose à faire.
Bobby : Non, fiston. Le choix est tien. Mais tu dois en faire un. Si tu aimes vraiment Rebecca, alors tu dois laisser Elena partir pour de bon.
Christopher : Je sais que je le dois. Je ne sais juste pas si je le peux.
Bobby : C'est l’heure. Doucement.
DALLAS – GROUPE DE SOUTIEN
Rick Lobell : Très bien, merci à ceux qui ont partagé ce soir et à tous les autres qui ont écouté. Vous êtes libre de rester aux alentours pour un café.
Pamela : Salut. Super meeting. J'ai vraiment apprécié la dernière chose que tu as dite à propos de trouver la force de prendre les bonnes décisions.
Rick Lobell : Eh bien, vous apprenez mieux ce que vous avez le plus besoin d'apprendre.
Pamela : Ça a été un de ces jours pour moi. Je voulais partager avec le groupe, mais je, eum ... je ne me sentais pas très à l'aise. Serais tu prêt à aller quelque part ?
Rick Lobell : J'en serai heureux.
SOUTHFORK – CHAMBRE DE J.R
J.R : Tu es le seul qui ne laisse jamais tombé, Bum.
Bum : Donc, quel est ton jeu, J.R. ?
J.R : Eh bien, lorsque le temps sera bon, rends Marta plus folle qu'un nid de frelons. Peut-être qu'Elena pourrait inviter John Ross au dernier hourra de mon frère à Southfork.
Bum : Le garçon a toujours aimé les fêtes.
J.R : Oui. Un petit peu trop.
Bum : Et bien, si tu as besoin d'un plan de secours, tu sais que je suis bon en problèmes.
J.R : Moi aussi. Merci de ton aide aujourd'hui.
SOUTHFORK – CHEZ ELENA
John Ross : Je devrais être fou de rage après toi pour ne pas m'avoir cru à propos de cet e-mail, mais... aujourd'hui était bien.
Elena : Oui.
John Ross : Toi et moi et les affaires... C'était toujours bien. Je peux t'utiliser.
Elena : Je sais que le partenariat avec moi sur la ligne de miss Henderson ne te réconforteras pas de ne pas forer sur Southfork, mais je te préserverai de ressembler à un pilier de bar.
John Ross : Si je suis d'accord pour revenir avec toi dans les affaires, qu'en est-il de nous ?
Elena : Une étape à la fois. Bonne nuit.
DALLAS – CHEZ JOHN ROSS
Marta : Où étais-tu ?
John Ross : Au bar. Buvant avec quelques potes.
Marta : Tu n'as pas répondu à mes appels.
John Ross : Nous tirions à l'étang. C'était assez fort. Qu'est-ce qui ne va pas ?
Marta : J'ai attendu. Je pensais que nous avions un rendez-vous.
John Ross : Eh bien, je suis là maintenant.
Marta : C'est trop tard.
John Ross : J'ai vraiment perdu le fil du temps.
Marta : Je te pardonne. Mais nous devons faire quelque chose vis à vis de ton retard.
John Ross : Oh. Qu'est-ce que tu as en tête ?
Marta : Un petit cadeau.
DALLAS – DANS LA VOITURE DU FILS LOBELL
Rebecca : Il... Il m'a dit qu'il pensait que j'étais trop endommagée pour lui. Je jure que la seule façon de passer à travers tout ça est de planer. As-tu quelque chose ? On pourrait le faire ensemble. En faire une nuit ?
Rick Lobell : Ça ne résoudra pas tes problèmes.
Rebecca : Mais ça m'aidera à passer la nuit. Je promets que je reprendrai le traitement demain.
Rick Lobell : Ecoute. Je suis passé par là. Mais je ne prendrai pas part à ça. Je suis clean. Enfin. Je sais que tu penses que tu n'as pas le choix, mais tu l'as. Tu dois... tu dois juste arrêter de te mentir à toi même en pensant que c'est la seule voie.
Rebecca : Comment tu l'as fait ?
Rick Lobell : Je suis tombé amoureux. Pour la première fois dans ma vie, au lieu de penser à moi, je pense à quelqu'un d'autre en premier. Sur ce que cela signifierait si je la laissais tomber. Ce que je perdrais si je foutais tout en l'air encore une fois. Je serais brisé si je la perdais.
Rebecca : Je pense que tu as changé ma façon de penser.
SOUTHFORK – CHAMBRE DE CHRISTOPHER ET REBECCA
Rebecca : Qu'est-ce que tu fais là ?
Tommy : Le programme ne fonctionnait pas, alors je suis venu pour le réparer. Il s'avère que tu ne l'as jamais installé.
Rebecca : J'avais peur qu'on se fasse prendre.
Tommy : C'est sérieux, Rebecca. Tu ne peux pas voler le brevet de Christopher sans un accès à son ordinateur. Pourquoi le protèges-tu ?
Rebecca : Je nous protège !
Tommy : Nous sommes ici pour l'argent. Je copie les dossier de la famille depuis le fichier de stockage, en espérant trouver quelque chose de précieux que l'on peut exploiter, mais tu dois faire ta part du côté de Christopher.
Rebecca : Crois-moi, c'est ce que je fais. Mais tu dois sortir de là.
Tommy : Qu'est-ce qu'il se passe ?
Rebecca : Rien ! Rien. Rien que je ne puisse gérer. Ok ? Maintenant pars.
DALLAS - BIJOUTERIE
Marta : Merci d'ouvrir pour nous.
Bijoutier : C'est seulement pour nos clients les plus spéciaux.
John Ross : Ce n'est vraiment pas nécessaire. J'aime ma montre.
Marta : Apparemment pas assez pour l'utiliser. Puis-je voir celle-ci ? Merci. Alors ?
John Ross : Donne-moi une seconde. (au téléphone) As-tu fait ce que je t'avais demandé ?
Rebecca (au téléphone) : Je n'ai pas pu. Je n'ai pas pu lui faire ça. Il a une vie, John Ross. Il essaye d'être une meilleure personne.
John Ross (au téléphone): Je ne suis pas en train de jouer. Très bien, tu fais ce que j'ai dit avant demain après-midi ou Christopher découvrira tout à propos de toi. Compris ?
Marta : Qu'est-ce qui ne va pas ?
John Ross : Je n'ai pas eu ce dont j'avais besoin avec le fils de Lobell.
Marta : J’aurais dû partir avec toi ce matin Nous sommes partenaires. Nous devons nous protéger. Dis-moi juste ce que tu as besoin de faire et je le ferai.
John Ross : Le fils de Lobell est un drogué et il a deux grèves sur son dossier. Preuve d'une troisième... Ça devrait nous donner une raison de plus de le boucler. J'ai besoin de photos de lui prenant de la droque.
Marta : Dis-moi où le trouver, et ça sera la première chose que je ferai demain matin. Après tu pourras venir dans l'après-midi et nous célèbrerons ça. Cette fois... Ne sois pas en retard.
SOUTHFORK - ETABLES
Bobby : Ouah ! Doucement, ma fille. Allez. Allez. Oh, fais chier !
Christopher : Qu'est-ce qui ne va pas ?
Bobby : Je ne peux pas le tourner. Et je pense que le sabot du veau perfore son utérus. Elle saigne énormément. Vas chercher le vétérinaire. Nous devons découper pour sortir le veau.
Christopher : Si nous faisons ça, la mère va mourir.
Bobby : Et si nous ne le faisons pas, nous perdons le veau.
Christopher : Je vais prendre le camion. Nous l'amènerons en ville.
Bobby : Fiston, il n'y a pas le temps. Si nous attendons, on les perd tous les deux. Nous n'avons pas le choix.
Christopher : Bien.
Bobby : Je suis désolé.
SOUTHFORK - CUISINE
J.R : Ai-je vu John Ross te déposer ici hier ?
Elena : Oui. Nous travaillons de nouveau ensemble.
J.R : Tu sais, c'est une honte que les choses n'aient pas pu marcher romantiquement parlant. Il a toujours eu le béguin pour toi, même quand il était petit garçon. Tu étais la seule qui pouvait le pousser à étudier. Je doute qu'il ait jamais fini un livre si ce n'était pas pour toi.
Elena : Il était dyslexique, pas stupide.
J.R : Pourquoi ne lui demanderais-tu pas de t'accompagner au barbecue aujourd'hui ? Je veux dire, Southfork est sa maison. Ça ne serait pas juste s'il ne pouvait pas être ici pour dire au revoir. C'est probablement mon rendez-vous. Pense à ce que je t'ai dit ?
Sue Ellen : C'est dur de croire que... Aujourd'hui est vraiment le dernier barbecue à Southfork.
J.R : Mm. Comment était ton déjeuner avec Cliff ?
Sue Ellen : Il pense que je peux gagner les élections. Il m'a aussi proposé de financer ma campagne.
J.R : Cet homme est aussi transparent qu'une piqûre de moustique, Sue Ellen. Tout ce qu'il veut, c'est t'acheter pour t'avoir dans sa poche.
Sue Ellen : Tout le monde veut quelque chose, J.R. Donc est-ce que c'est ça que tu veux ? Un nouveau départ. Cliff pense que tu es toujours après Southfork.
J.R : Eh bien, si je suis coupable de quoi que ce soit, c'est de m'occuper du futur de mon fils.
Sue Ellen : Tu t'es débrouillé pour convaincre John Ross de ça. Mais est-ce la vérité ?
J.R : Ce n'est pas un secret que nous n'étions pas les meilleurs parents, Sue Ellen. Maintenant je fais ma part pour me réconcilier avec lui.
Sue Ellen : Nous y voilà.
J.R : Nous y voilà. Oui.
EXT. SOUTHFORK
Christopher : C'est une honte que nous ayons dû tuer sa mère.
Bobby : C'était la bonne chose à faire.
Christopher : Oui, sa nouvelle maman va prendre soin de lui. Tu sais que j'ai toujours ce livre que toi et maman m'aviez donné ? Quand vous m'avez dit que j'avais été adopté. C'est à propos de pourquoi je devrais me sentir spécial car vous m'aviez choisi.
Bobby : Ça a été le plus beau jour de ma vie. Je sais que tu feras la meilleure chose en ce qui concerne Rebecca.
SOUTHFORK – CHEZ ELENA
Elena : Entrez.
Christopher : Salut.
Elena : Je me prépare juste pour le barbecue. Qu'est-ce qu'il se passe ?
Christopher : C'est pour toi.
Elena : 20000$ ?
Christopher : Pour te remercier de m'avoir aidé avec la réparation du déplacement de gaz. Ça devrait couvrir ta participation.
Elena : Christopher, je... je ne faisais pas ça pour l'argent. Je l'ai fait parce que tu es mon ami, parce que tu m'as demandé de l'aide.
Christopher : Je veux être sûr qu'il n'y ait jamais de conflit légal pour savoir qui a quoi. Tu sais, je ne peux pas risquer que tu viennes dans quelques années après que j'ai construit une entreprise et que tu réclames la propriété.
Elena : Oh, allez. Tu sais que je ne ferais pas ça.
Christopher : A vrai dire, je ne sais pas. Et encaisser ce chèque me protègera de toute obligation envers toi.
Elena : Tu plaisantes ?
Christopher : J'aurais bien aimé. Tu es ambitieuse, Elena. Cherchant à te prouver à toi-même. Et à tout le monde que tu es plus que la fille qui aide. Je veux dire, tu as déjà travaillé avec John Ross une fois, essayant de forer dans le dos de mon père. Et j'essaye de juste de me protéger parce que c'est assez clair comment tu compromettras ton intégrité pour de l'argent.
DALLAS – CHEZ JOHN ROSS
John Ross : Allo ?
J.R : Je devrais avoir de tes nouvelles maintenant. Où en est-on à propos du fils de Lobell ?
John Ross : Marta s'en occupe. Je parlerai dès demain matin avec Lobell, le voir fébrile.
J.R : Eh bien, ce sont de bonnes nouvelles. Je m'inquiétais à propos de toi, mon garçon.
John Ross : Eh bien, tu n'aurais pas dû. J'ai même réussi par moi-même à avoir une invitation au barbecue de Southfork.
J.R : Oh, t'en a eu une. C'est bien pour toi.
John Ross : Je te verrais là bas ?
J.R : Je ne voudrais pas manquer ça. Je dois juste m'occuper de quelque chose avant.
DALLAS – CHAMBRE D’HOTEL DE MARTA
J.R : Tu espérais quelqu'un d'autre ?
Marta : John Ross, je pensais que vous pouviez être lui. Il a appelé pour annuler, mais j'avais espéré qu'il puisse avoir changé d'avis.
J.R : Malheureusement, je ne pense pas que cela arrivera. Je suis désolé d'être porteur de mauvaises nouvelles, mais mes soupçons se révèlent vrais. Je suis venu avec quelques informations que vous devez voir.
Marta : Quand ont-elles été prises ?
J.R : Hier après-midi.
Marta : Il a dit qu'il était avec des amis.
J.R : J'ai peur que non. Il est d'ailleurs sur la route de Southfork pour être avec elle. Je suis désolé, Marta. Mon garçon ne faisait juste que vous utiliser.
Marta : J'ai fait ça pour votre fils... Et plus.
J.R : Eh bien... Eh bien je... je pensais qu'on avait seulement besoin d'une photo de lui en train de se droguer ?
Marta : Il était un peu plus dur à persuader que je ne le pensais.
J.R : Clairement, mon fils n'apprécie pas la sorte de femme qu'il voit en vous Marta, je sais que vous aviez des sentiments pour John Ross, mais au moins, vous savez ce que vous obtenez avec moi. Que diriez-vous si vous et moi faisons un marché pour Southfork et ce pétrole ?
INT. SOUTHFORK
Bobby : J'étais prêt pour faire ça.
Ann : Je sais. Mais je voulais aider. Et il s'avère que si je ne l'avais pas fait, je n'aurais pas trouvé la boite en argent de ta mère. C'était derrière l'une de ces commodes.
Bobby : Il ne reste plus qu'une chose à faire.
EXT. SOUTHFORK - BARBECUE
Lucy : Je ne me souviens que de la moitié du temps quand j'étais ici à Southfork.
Ray : C'est parce que tu passais la plupart de ceux-ci à boire discrètement l'alcool du bar.
Lucy : Comme si tu étais un Saint toutes ces années.
Bobby : Hey, mon pote. Regardes toi, comme tu as grandis. Mon Dieu ! Hey, les gars, donnez-moi une petite seconde. Puis-je avoir votre attention s'il vous plaît ? Merci. Je veux tous vous remercier d'être venus. Je tiens à vous souhaiter la bienvenue ici. Si vous êtes là, c'est parce que vous avez un lien avec ce ranch et les personnes qui y ont vécu. Je suis ici parce que Southfork est le seul foyer que je n’ai jamais connu. Ce qui rend les adieux plutôt difficiles. En particulier si tu penses que ça va durer toujours. Mais ce n'est pas la fin. Les souvenirs et les gens de Southfork Fera toujours partie de moi, de la même manière qu'ils feront toujours partie de toi. Et nous apporterons avec nous ces souvenirs où que nous allions... Comme nous avançons tous vers de nouveaux départs. Donc, ce soir, je veux vous en profitiez. Je veux que vous vous amusiez. Et nous allons tous profiter "Southfork ranch, vous allez bien?" Merci.
Rebecca : Hey.
Christopher : Hey.
Rebecca : Nous devons parler.
Christopher : Bien. D'abord, je voudrais te montrer quelque chose. Viens.
Mitch Lobell : Rick est clean. Il était de nouveau sur la bonne voie. C'est une honte.
J.R : Et ce qui est pire... Il a vraiment deux délits sur son casier. Une photo comme celle-ci, s'est retrouvée dans les mains de la police, ça en fait trois. Rick va disparaitre pendant un moment.
Mitch Lobell : Tu ne peux pas lui faire ça, J.R. Il retrouve juste à vie. Il va se marier.
J.R : Tu vas achever le transfert de Southfork sans nous extorquer un cents de plus. Je veux le nouvel acte re-dessiné. Il n'y a plus de partage 50/50 entre John Ross et moi. Tu as rédigé un nouveau contrat et tu m'as tout attribué. Tu le mets à part de sa propre affaire? Southfork m'était destinée depuis le départ... Et le sera enfin, maintenant. John Ross peut attendre son tour. Je veux que ces papiers soient remplis dans la matinée. T'as compris ?
Mitch Lobell : Tu dois me promettre de protéger mon fils, J.R. Promet moi!
Christopher : Nous ne pouvions pas savoir si elle allait le faire. Mais regarde la. Je t'aime. Rien ne pourra jamais se mettre en travers de ça. Qu'est-ce qui ne va pas ?
Rebecca : Il y a quelque chose que j'ai besoin de te dire... à propos de l'e-mail... que Elena a reçu il y a deux ans... celui qui lui disait que tu ne serais pas là pour le mariage.
Rédigé par sabby