EXT. SOUTHFORK
Christopher : Comment sais-tu à propos de ça ?
Rebecca : Je t'aime, Christopher… plus que tout. La dernière chose que je veuille faire est te blesser. Mais John Ross me fait du chantage. Il y trois ans, Tommy s'est installé à Dallas. Son colocataire te connaissait. Il savait à propos de toi et Elena. Tout ce que je savais est que tu allais être dans le train ! Que tu venais juste de rompre avec quelqu'un. Mais je ne savais pas. Je jure que je ne savais pas ce que Tommy avait fait.
Christopher : Et qu'est-ce que Tommy a fait ?
Rebecca : Il a envoyé l'e-mail à Elena et fait croire qu'il venait de ton ordinateur. Je jure que je ne le savais pas ! Je ne savais pas ce qu'il avait fait. Je ne savais pas jusqu'à hier quand John Ross m'a confronté. Tu dois croire ça. Tu dois croire que je t'aime.
Christopher : Attends.
********** Générique **********
EXT. SOUTHFORK
Rebecca : Non ! Non ! Christopher, arrête ! Arrête ! Non, non, non. Arrête ! Arrête ! S'il te plaît. Arrête.
Tommy : Mais qu'est-ce que je t'ai fait ?!
Rebecca : Je devais lui dire, Tommy. Il sait que tu as envoyé l'e-mail à Elena les séparant.
Bobby : Tu as fait quoi ?!
Christopher : C'était une escroquerie ! Les deux ! Pour notre argent.
Tommy : Non, ne le reproche pas à Becca. Tout était de moi. Je suis désolé, mec.
Christopher : Pourquoi ?! Toi fils... Non, non, non ! Comment as-tu pu lui faire ça ?! Nous utiliser comme ça.
Tommy : Je l'ai juste fait.
Christopher : Fils de pute !
Bobby : Chad ! Fais sortir ce voyou de mon ranch.
Rebecca : Christopher ! Je t'aime. Je n'ai jamais voulu prendre ton argent. Tu dois le croire. Tu dois me croire ! Juste crois-moi.
Christopher : Fais en sorte que je ne te revois plus jamais.
Elena : Je suis désolé de ne t'avoir pas cru. Je n'aurais pas dû t'accuser d'avoir envoyé cet e-mail.
John Ross : J'ai juste besoin d'être sûr que tu ne vas pas lui courir après.
Elena : Il a offert de me payer. Il a dit que je n'avais pas d'intégrité. Christopher et moi c'est fini.
John Ross : Très bien.
INT. SOUTHFORK
Ann : Bonjour.
Carmen : Bueno. Maintenant je peux faire quelque chose. Mr Bobby ne m'as laissé l'aider. Je trouve ça impoli.
Bobby : J'essaye juste de rester occupé.
Ann : Pas de nouvelles de Christopher ?
Bobby : Non.
Ann : Je suis sûre qu'il va bien. Peux-tu imaginer ? Et ce frère. Je ne l'ai jamais aimé. Je me détestes de lui avoir fait confiance. Et elle aussi.
Bobby : Oui. Bien sûr. Elle semblait si dévastée quand elle est partie.
Ann : Tu penses que c'est possible que tout ceci ne fut qu'un numéro ? Tout ?
Bobby : Chéri, ça n'a pas d'importance. J'ai laissé un mot pour Mitch Lobell. Pour voir s'il y a quelque chose que l'on puisse faire légalement à propos de Rebecca et son frère. J'espère que Christopher va bien.
Bobby : Je peux t'aider ?
Bum : Robert James Ewing ?
Bobby : Oui, c'est moi. Qu'est-ce que c'est ? Merci.
Ann : C'est quoi ?
Bobby : Ca vient de Lobell. C'est probablement à propos de la vente du ranch. Mmm…
Ann : Qu'est-ce qui ne va pas ?
Bobby : J.R. L'acte de propriété de Southfork est à son nom.
Ann : C'est une sorte de blague ?
J.R : Non, Bobby. Ce n'est pas une blague. Bum, donne à Bobby et à moi quelques minutes, veux-tu ? Maintenant, Bobby, laisse-moi t'expliquer, avant de t’énerver. Oh, je veux entendre Cette histoire. Je me suis toujours senti tout chose à propos de cette fille Marta Del Sol, depuis que je l'ai vue au bal de l'éleveur. Papa disait toujours que les plus belles femmes étaient les plus dangereuses.
Bobby : Je connais toutes les choses que papa avait l'habitude de dire.
J.R : Il y deux semaines, J'ai entendu qu'elle planifiait de vendre Southfork à Cliff Barnes. J'étais surpris de voir qu'elle pouvait le remettre directement sur le marché après te l'avoir acheté. Mais, je me suis dit que c'était juste le marché que Lobell et toi aviez fait avec elle.
Ann : Ce n'était pas le marché, J.R., et tu le sais.
J.R : Bobby m'a gardé en dehors du marché. Donc, non, je ne sais pas, chérie. Quand j'ai entendu que le vautour Barnes essayait de voler Southfork, mettre la main sur le ranch et tout le pétrole que mon fils avait trouvé dessous, j'ai trouvé un groupe d'investisseurs et suis intervenu et l'ai acheté aux Del Sol. Je ne pense pas que Cliff Barnes savait ce qui l'attaquait. Et je suppose que toi non plus. Maintenant elle est à moi. Je vais creuser plus de puits dès que je le peux. Le pétrole Ewing est de retour dans les affaires, Bobby.
Bobby : Ca n'arrivera pas, J.R. Ca n'arrivera pas. C'est pourquoi j'ai voulu vendre Southfork en premier lieu... Pour arrêter tous ces conflits et laisser un héritage de maman.
J.R : Tu veux prendre soin de l'héritage de maman ? Je veux prendre soin de celui de papa. Je reprends ce qui aurait dû être mien au départ.
Bobby : C'est comme ça que tu le justifies ? Comment es-tu devenu si tordu ?
J.R : Maintenant, pourquoi ne t'installerais-tu pas et accepter la situation ? L'acte de propriété est réel, et cet endroit est à moi. Mais tu peux rester aussi longtemps que tu le souhaites, Bobby. Nous sommes une famille.
Bobby : Je vais faire ça bien. Et je vais te faire tomber... Frère.
J.R : Il s'est toujours mis un peu en rogne quand ça n'allait pas comme il voulait. Mais il se ravisera. Tu verras.
Christopher : Ils m'avaient averti, mon mariage entier, ils m'avaient dit à propos de toi. Mais de tout ce que j'ai pu imaginer, je n'aurai jamais pensé que tu puisses t'abaisser à ça.
Bobby : Annie, tu vas juste devoir travailler sur ton imagination.
Ann : Bobby ! Où vas-tu ?
Bobby : Chez Lobell.
Christopher : Papa ? Papa ! Qu'est-il arrivé ?
Bobby : J.R. a volé Southfork. Il va faire des forages.
Christopher : Il a fait quoi ?
Bobby : Tu m'as entendu. Je ne peux pas imaginer que John Ross ne soit pas impliqué là-dedans, aussi.
Christopher : Papa, attends ! Attends ! Attends. Je viens avec toi.
Bureau de Lobell :
Bobby : Oh mon dieu !
Christopher : Fils de p*** !
Bureau de Lew :
Bobby : Lew, merci d'aider.
Lew : Je suis désolé pour tout ça, Bobby. C'est dévastateur ce que Lobell a fait. Je le connais depuis longtemps, et je le cataloguais comme un bon gars. J'ai travaillé avec lui pendant 30 ans.
Christopher : Je veux lui casser la nuque.
Bobby : Je le veux aussi, fils. Donc, à quel point est-ce mauvais ?
Lew : Mon équipe et moi avons parcouru les dossiers que tu as amenés. J'ai parlé avec Carlos del Sol et le Shérif de Dallas. Voici ce que nous savons à l'heure actuelle. La conservation Del Sol n'a jamais été dans l'affaire... Bobby. Lobell t'as menti sur toute la ligne. Toute son histoire était une arnaque, comme la femme qui se prétendait être Marta del Sol. La police de Dallas a lancé un avis de recherche pour l'arrêter, mais ils semblent pessimistes sans connaitre sa véritable identité. Son numéro de téléphone et son adresse étaient bidons. Même les sommes d'argent qui ont été échangées sont passées par des comptes offshores intraçables. La police ne pense qu'il soit possible qu'elle ait quitté le pays, et la même chose est vraie pour Lobell et sa famille.
Bobby : Alors tu peux prouver que c'était une fraude. Annule juste le marché et remets l'acte de propriété en mon nom.
Lew : Ce n'est pas si simple, Bobby.
Christopher : Comment ce n'est si simple ?
Bobby : Fils, juste une minute.
Lew : Aucun jury ne doutera de ce qu'il s'est passé ici. La vente de Southfork à Marta del Sol était une fraude. Mais c'était aussi une vente de bonne foi. Ton père a été payé au prix du contrat et a encaissé le chèque.
Bobby : Alors je donnerai l'argent.
Lew : Tu ne peux pas, Bobby, à cause de la deuxième vente pour J.R. Il était l'acheteur de la 3ème partie pour valeur, ce qui veut dire que la vente de Southfork à lui était valide... et ne peut être défaite sauf si nous prouvons qu'il était impliqué ou savait pour la fraude du premier marché.
Bobby : Et comment suis-je censé faire ça, Lew ?
Lew : Commençons pas le début. On va avoir besoin de toutes les notes privées que tu as sur le deal. Et Berman vous fera vous asseoir et vous accompagnera dans un historique oral.
Chez Tommy & Rebecca :
Tommy : Tu es juste chanceuse que j'ai été intelligent. Récupérer toutes ces affaires avant que tu ne nous fasses exploser.
Rebecca : Je te l'ai dit, John Ross allait tout dire à Christopher. S'il y avait une chance que Chris me croit, je devais lui dire moi-même.
Tommy : Ca a vraiment bien fonctionné.
Rebecca : Crois-tu vraiment que je voulais qu'il me déteste ?
Tommy : Exactement le contraire. Au moins, je nous ai donné l'accès à l'ordinateur de Christopher. Alors on peut suivre sa progression grâce à l'extraction de méthane. Et quand ça fonctionne, il y aura beaucoup de gens à qui nous pourrons vendre ces plans. Et tous ces fichiers que j'ai copié... il doit bien y avoir quelque chose que nous pouvons monnayer. Tu ne crois pas ?
Rebecca : Ouais.
Tommy : Hey. Je me suis investi deux ans. Je prévois d'en sortir millionnaire. Alors tu ferais mieux de te reprendre et de commencer à m'aider à trouver à quelque chose.
Rebecca : Tu me fais mal.
Tommy : N'oublie pas, on est là-dedans, tous ensemble.
Chez John Ross :
John Ross : Si j'avais su que tu venais, je me serais levé plus tôt.
Elena : Qu'as-tu fait, John Ross ? Southfork ! Ton père a dit à Bobby ce matin qu'il était à lui, qu'il forait la section 18.
John Ross : Mon père a fait quoi ?
Elena : Ne joue pas, John Ross. L'acte de propriété est au nom de J.R.
John Ross : C'est impossible.
Elena : Je pensais que tu abandonnerais. Que tu avancerais avec le forage du puits Henderson. J.R. et Bobby sont en guerre ! Ils pensent que tu fais partie de ça, aussi.
John Ross : Je dois parler à mon père.
Elena : C'est tout ce que tu vas dire, vraiment ? Tu ne vas même pas essayer de nier ?
John Ross : Je ne sais pas ce qui se passe !
Elena : Je commençais juste à te faire confiance de nouveau.
Au téléphone…
Répondeur de J.R : C'est J.R. Ewing. Après le bip, dites-moi ce que vous savez.
INT. SOUTHOFRK
Bobby : J.R. ? J.R. ? Ouvre cette porte ! J.R. !
Ann : Il est parti, Bobby. Il y a une heure.
Christopher : Oh, Merde ! Il a déjà des camions-citernes qui se dirigent vers la section 18.
Ann : Qu'est-ce que l'avocat a dit ?
Bobby : Non seulement Lobell m'a laissé tomber, mais si je veux récupérer Southfork, je dois prouver que J.R. était dans la fraude; ou au moins qu'il en était au courant. Ils interrogent tous ceux à qui ils peuvent penser. Ils vont demander une injonction de produire ses relevés de compte et de téléphone et même le registre des visiteurs de la maison de retraite. Mais je connais plutôt bien mon frère, et il a couvert ses traces.
Ann : Qu'en est-il de Marta del Sol ?
Bobby : En fait, elle n'était pas Marta del Sol, et la police la recherche. Nous devons commencer à combattre le feu par le feu.
Christopher : Papa, on doit commencer à traiter avec le même type de personnes qu'eux pour trouver ce qu'on a besoin pour les faire tomber.
Bobby : On ne va pas transgresser la loi pour arranger ça, fils.
Christopher : J.R. et mon cousin vont pomper d'ici la fin de la semaine ! Si ce n'est plus tôt ! Nous devons faire plus, et nous devons le faire maintenant !
Bobby : Je vais combattre ça avec tout ce que j'ai, Christopher, mais je ne fais pas d'affaires avec des escrocs. Ce n'est pas ce que nous sommes.
Christopher : Peut-être pas toi.
Bobby : Fils... La raison de la vente de Southfork en premier lieu était d'arrêter cette descendance de famille. Je ne vais pas nous laisser nous abaisser à ça. Regarde ce que ça nous a déjà couté. Regarde ce que les mensonges de Rebecca et Tommy t'ont fait. J'en ai marre de rester assis pendant que les gens me marchent dessus dans cette famille ! Tout comme moi ! J'ai combattu J.R. auparavant, fils, et je l'ai battu. Et je le battrai ici... à ma façon. Non. Nous allons le faire de la bonne façon. Chérie, tu peux dire à tout le monde de commencer à déballer, car nous n'allons nulle part.
Ann : Okay.
Chez Marta :
Marta : Ton père n'est pas ici. Je ne sais pas où il est.
John Ross : Dis-moi que ce n'est pas vrai. Tu me dis que tu ne m'as pas écarté de ce marché et mets Southfork au nom de mon père !
Marta : Tu as besoin de parler de ça avec J.R.
John Ross : Non, je t'ai amené sur cette affaire. Comment as-tu pu changer d'avis et donner tout Southfork à J.R. ?!
Marta : Je t'ai prévenu de ne pas mélanger le plaisir avec les affaires. Je t'ai donné chance après chance.
John Ross : Mais de quoi est-ce que tu parles?
Marta : Elles ont été prises hier.
John Ross : Tu m'as suivi ?
Marta : Ton père l'a fait. Je suppose qu'il ne pouvait pas te faire confiance. Tu as dit que toi et Elena aviez rompu. Tu m'as menti. Tu m'as menti sur où tu étais l'autre jour, et tu m'as laissé tomber pour être avec elle hier. Tu m'as blessé. Je t'avais prévenu. Je t'avais prévenu de ne pas jouer avec moi. Je t'avais prévenu de ne pas confondre nos relations d'affaires en t'impliquant.
John Ross : Tu me laisse tomber pour ça. J'aurais pu t'expliquer...
Marta : Avec un autre mensonge. Ces images sont assez évidentes.
John Ross : Tu détruis ce que tu as fait. Tu remets mon nom sur cet acte.
Marta : C'est trop tard. En plus, c'était une bien meilleure affaire de toute façon.
John Ross : Je devrais dire à la police où tu es. Qui tu es.
Marta : Et perdre toute réclamation que tu as sur Southfork en faisant sauter l'affaire de ton père ?
John Ross : Tu restes loin de moi. Si tu sais qu'est-ce qui est bon pour toi.
Vidéo enregistrée :
John Ross : Je dois être certain... Parce qu'il y a aucun retour. Je n'avais jamais rencontré quelqu’un comme toi. Nous sommes tous les deux d'une espèce.
Marta : Tu es sûr que tu ne veux pas mélanger plaisir avec business ?
John Ross : Que diable avons-nous fait la nuit dernière ?
Marta : Oh, je me souviens, tu aimes quand c'est sauvage ?
EXT. Dallas
Bum : John Ross. Je suis l'ami de ton père, minable.
John Ross : Vous êtes le fils de pute qui a pris ces photos. Je devrais vous tuer.
Bum : J.R. m'a demandé de venir vous chercher.
Stade des Cowboys :
J.R : Peut-être es-tu aussi fort en seconde mi-temps que tu l'étais en première, Jerry.
Jerry : Content de vous avoir en forme, J.R. Et j'apprécie que vous vous assurez que tout le monde le sache. Je vais vous laisser seul avec votre fils. Content de te voir, John Ross. Vous avez un bon père là.
J.R : Marta a appelé. Essayant de savoir à quoi tu penses. Un petit conseil... tu devrais être un peu plus gentil avec cette fille. Elle est un peu tarée.
John Ross : Je devrais appeler la police. T'arrêter pour ce que tu as fait.
J.R : Il n'y a aucune raison pour ça. L'acte de Southfork est toujours le tien pour la possession, John Ross. C'est juste une question de temps.
John Ross : Toi et moi, on était censés être partenaires... maintenant. Ça c'était le marché.
J.R : Le marché était de t'enseigner le business du pétrole. Et c’est ce que je fais. Je quitte la ville quelque temps. Je te mets responsable. Je te jette dans le grand bassin comme mon père l'avait fait avec moi. Je vais voir si tu peux nager. Ou couler.
John Ross : Je n'ai pas besoin d'être testé. J'étais prêt à le faire par moi-même.
J.R : Maintenant si c'était vrai, tu ne te serais pas fait voler le marché. Voici ma procuration afin de pouvoir faire les choses. Et Bum reste derrière. Si tu as des ennuis, il peut être plein de ressources, ce que je pense tu sais. Commence juste à forer. Au moment où je suis de retour. Bobby devra s'habituer à avoir du pétrole pompé sur Southfork et les dégâts qui seront fait. Ne fout pas tout en l'air.
Annonceur : Jerry Jones et l'organisation des cow-boys sont fiers d'accueillir J.R. Ewing au Cowboys Stadium.
J.R : Souris à la caméra.
Annonceur : Offrons-lui un accueil digne du Texas.
INT. SOUTHFORK
Rebecca : Je suis si heureuse que vous ayez décroché. J'étais terrifiée à l'idée que vous le fassiez pas.
Ann : Qu'est-ce que tu veux, Rebecca ?
Rebecca : Je suis désolée, Ann. Vous avez été si gentille avec moi. J'avais l'impression d'être de la famille. Je ne voulais pas...
Ann : Une fois que tu as commencé le mensonge, il n'y avait qu'une seule sortie.
Rebecca : Est-ce qu’on peut se voir ? Vous expliquer tout en personne. Vous pourrez me regarder dans les yeux et voir que je ne suis pas l'horrible personne que vous pensez que je suis. S'il vous plait, Ann. S'il vous plait.
Chez Marta :
Maitre d’hôtel : J'apprécie vraiment l'argent, Mr Ewing. Je n'ai presque jamais de pourboires ici, même à Noël.
Christopher : Hey, j'ai juste apprécié que vous fassiez de mon cousin un sage. John Ross deviendrait dingue si je n'étais pas capable d'aller chercher ce rapport sur le bail de pétrole qu'il a laissé ici.
Maitre d’hôtel : Eh bien, la voilà. Je vous attendrai ici.
Christopher : Vous savez quoi ? Uh, ça pourrait me prendre un moment pour le trouver. Je ne voudrais pas vous causer des ennuis pour les ... non effectifs de la porte d'entrée. Je fermerai en partant.
Maitre d’hôtel : Je devrais vraiment attendre, je pense.
Christopher : Je vous ai assez retenu comme ça. C'est bon. Croyez-moi.
Vidéo enregistrée :
John Ross : Je me souviens que tu aimes ça sauvage ? Tu aimes quand c'est sauvage… Veronica.
EXT. Dallas :
J.R : Je suis désolé que ça se soit fait comme ça. Mais je compte sur toi. Rends ton papa fier.
John Ross : Où vas-tu ?
J.R : Quel plaisir j'aurais si je te le disais ? En plus, ce que tu ne sais pas, tu ne peux pas le dire.
John Ross : Quand reviens-tu ?
J.R : Ca dépend de toi, fils.
INT. SOUTHFORK :
John Ross : Mon père a dit que vous ne déménagiez pas. Je suis heureux.
Bobby : Ne viens pas dans cette maison et faire le malin avec moi, jeune homme. Je te jetterai directement de cette porte. Je suis d'humeur. En plus... Ton père n'est pas ici.
John Ross : Je sais. Pouvez-vous nous laisser une minute mon oncle et moi s'il vous plait ? Je ne veux pas de problème avec toi, Oncle Bobby. Bon, je sais que nous avons eu nos différends par le passé, mais ce qui s'est passé ici est entre toi et mon père. Et je n'ai rien à voir avec ça.
Bobby : Tu t'attendais vraiment à ce que je te crois. Tout ce que tu as toujours voulu c'est de forer dans ce ranch.
John Ross : Tu as vu mon nom quelque part dans le contrat de mon père ? Si tu me demandes, cependant tu aurais du me laisser forer quand Elena et moi avions demandé. Si tu l'avais fait, je ne pense pas que mon père aurait été poussé à ça. Tu aurais dû savoir que J.R. ne laisserait pas un milliard de barils de pétrole passer entre ses mains.
Bobby : Ouais, eh bien, Je vais me battre avec lui sur cela. Et je pense le blesser.
John Ross : Une des raisons de son départ de Dallas cette après-midi.
Bobby : J.R. est parti ?
John Ross : Je viens juste de le voir s'en aller. Il m'a mis dans une situation réellement inconfortable.
Bobby : J.R. t'a donné sa procuration. Vous deux devez vraiment apprécier cette petite blague.
John Ross : Je t'assure que ce n'est pas une blague. A la demande de mon père, je m'installe à Southfork pour garder un œil sur ses affaires en son absence. Dans sa suite, bien sûr. Je vais commencer à pomper la section 18 aussi vite que je peux. Maintenant, je sais que tu vas avoir un problème avec ça. Mais j'espère que toi et moi resterons en dehors du chemin de l'autre. La dernière chose que je souhaite c'est te virer du ranch. Comme tu l'as fait avec moi.
EXT. Dallas :
Rebecca : Je continue de penser que si je pouvais recommencer, je ferais de meilleurs choix... Rencontrer Christopher en d'autres circonstances. La chose marrante c'est... que je ne l'aurais sûrement jamais rencontré si les choses avaient été différentes.
Ann : Vous êtes jeunes, Rebecca. Vous faites des erreurs quand vous êtes jeunes. Ça ne veut pas dire que vous ne pouvez pas changer. Vous passerez au-delà de ça avec le temps.
Rebecca : Tu crois vraiment ça ? Je continue de me laisser tomber dans les mauvais modèles. Me laisser influencer par mon frère.
Ann : Tes choix sont les tiens, pas les siens.
Rebecca : Je sais. Le truc c'est que ... Je ne sais pas ce qu'il ferait... S'il sentait que je ne suis pas derrière lui.
Ann : Où est Tommy maintenant ?
Rebecca : Il essaye de préparer son prochain coup.
Ann : Et toi ?
Rebecca : J'essaie de trouver un moyen de lui dire d'aller au diable.
Ann : Peut-être que la première étape pour ça est de faire la paix avec Christopher.
Rebecca : Vous pensez que Christopher me pardonnera ?
Ann : C'est plus que le pardon. C'est la confiance. Et en quelque sorte en lui prouvant que tu es digne d'une seconde chance.
Chez Elena :
John Ross : Non... Je t'ai écouté ce matin. Maintenant, c'est à ton tour. J'ai parlé à mon père. Il a fait ce que tu as dit. Southfork, le pétrole, tout est à son nom. Il a quitté la ville. Il veut que je fasse ses enchères jusqu'à ce qu'il rentre. Avant que l'Oncle Bobby ne se calme. Il croit que ce sera mieux comme ça.
Elena : Je suppose que tu as eu ce que tu voulais.
John Ross : Je le voulais. Mais pas de cette façon. Il m'a mis la tête dedans pour faire les choses à sa façon. Et il m'a laissé... seul. Je n'ai jamais voulu le faire seul. Je voulais le faire avec toi. Crois-moi. Je ressens la même chose envers J.R. J'ai passé ma vie entière à essayer de ne pas être son fils. Mais cet endroit ... Ce pétrole... C'est mon droit. Et maintenant tout repose sur moi, je dois faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que ça marche.
Elena : Mais Bobby ne mérite pas...
John Ross : Non, Bobby a été blessé par mon père, pas moi.
Elena : Pas toi.
John Ross : Bobby aussi voulait se débarrasser de Southwork. Dans sa totalité. Je ne peux pas dire que je suis désolé que mon père l'ait arrêté avant qu'il ne le fasse. Tu m'as accusé de choses horribles que je n'ai pas faites. Et je suis toujours là, à ta porte... Te demandant de... me donner une chance. Te demandant de faire ce qu'on a toujours dit que l'on ferait... Ensemble.
Elena : Je ne peux faire partie de ça.
John Ross : Tu ne peux pas être une partie de ça... Ou une partie de moi ?
Elena : Je sais pas.
INT. SOUTHFORK :
Bobby : J.R. pensait qu'il pourrait sortir de tout cela en quittant la ville, alors il a mis John Ross en charge. J'ai juste peur qu'il déchire ce ranch entièrement creusant pour du pétrole avant qu'il ne soit épuisé. J'ai fait ça, Annie, en tout précipitant. J'ai essayé de mieux faire les choses, et je les ai fait pire. Mais à quoi je pensais ?
Ann : Tu as été tout assumé toi-même. Spécialement le cancer. Et tu ne l'as pas mal fait. J.R. l'a fait. Tu es l'homme le plus fort que je connaisse. Tu vas arranger ça.
Bobby : Ouais, mais ils vont commencer à pomper avant que je le trouve. Et j'ai promis à maman que ça n'arriverait pas. Je dois trouver un moyen de le ralentir.
Ann : Tu trouveras.
Bobby : J'aimerais en être aussi sûr que toi.
Chez Elena :
Christopher : Elena ! Ouvre la porte ! Elena ! S'il te plait ?
Elena : Tu es saoul, Christopher. Tu devrais rentrer chez toi.
Christopher : Je suis désolé. Je suis désolé pour ce que j'ai dit l'autre jour. Je suis juste.... Je suis désolé.
Elena : Oh, Seigneur. Okey, viens, rentre.
Le lendemain…
Christopher : Tu m'as aidé la nuit dernière ?
Elena : Tu pouvais à peine aller sur le divan, sans parler de la maison. Tiens. Bois ça. Ensuite sors d'ici.
Christopher : Je… Je pensais que…
Elena : Tu croyais que je t'avais pardonné parce que je t'ai laissé dormir sur mon canapé ? Je t'ai laissé dormir parce que c'était la seule chose décente à faire. Tu pourrais apprendre des choses sur la décence, Christopher.
Christopher : Je suis désolé. Tu sais exactement ce dont je ne suis pas sûr, ce qui me fait mal, et tu y reviens toujours.
Elena : Je suis désolé pour Rebecca, mais ne viens pas ici pour chercher à faire la paix et penser que je t'ai laissé me faire croire que c'était John Ross tout ce temps.
Christopher : Alors que c'est ce que tu penses. C'est exactement ce que tu penses de moi.
Elena : John Ross ?!
Christopher : As-tu une idée de ce qui est en train de se passer ?
Elena : Quoi que tu penses, plus que quiconque il m'a toujours soutenu et il ne m'a jamais, non jamais... fais autant de peine que toi l'autre jour
RYLAND TRANSPORTATION – Bureau de Harris
Assistant : Mr. Ryland ? Votre ex-femme est là pour vous voir.
Ann : Merci de me recevoir, Harris.
Harris : Pourquoi ne viendrais-tu pas ici me faire un câlin ?
Ann : Je ne pense pas que ça soit nécessaire.
Harris : Et bien, moi je le pense. Tu sais, je m'attendais à ce que tu montes sur tes grands chevaux pour au moins encore quelques minutes avant que tu cèdes. Surtout depuis, si je me souviens bien, Je te donne la chair de poule.
Ann : Bien sûr, tu as toujours été enclin à l'exagération. Je ne veux pas me battre avec toi.
Harris : C'est évident, Annie. Tu es là pour me demander une faveur. Pourquoi voudrais-tu commencer une bagarre ?
Ann : Tu as un contrat avec J.R Ewing pour le transport de 2.000 barils par jour de son puits de Southfork. Je veux que tu annules le contrat.
Harris : Je suis le seul à Dallas à avoir le nombre nécessaire de camions pour transporter cette quantité de pétrole. Si J.R. ne peux pas transporter son pétrole, alors il arrêtera de forer. Est-ce la fin du jeu que tu recherches ? Tu peux juste faire un signe de tête si j'atteins mon but. Après toutes ces années je peux toujours lire tes pensées.
Ann : Oublie. Après tout ce qu'on a traversé, je pensais que tu aurais changé.
Harris : Les gens ne changent pas. Bon, peut-être les vêtements que l'on porte, la taille de ses talons. C'est bien de voir que tu n'as plus peur d'en porter d'ailleurs. Mais l'âme ? Je pense qu'elle reste constante. Sinon, tu ne serais pas ici. Je le ferai. J'aime bien ton mari. Et j'ai toujours pensé que son frère était un con. Donc j'enlèverai mes camions. Ca va te coûter un câlin.
EXT. Southfork – Parcelle 18
John Ross : Scie la plate-forme d'achèvement à l'extérieur. L'équipe est déjà partie pour la journée ?
Elena : Je pensais que tu étais pressé.
John Ross : Ils ont fini le revêtement plus vite que je ne l'espérais. Ca a toujours besoin de sécher, donc je les ai laissés partir tôt. Je suis un bon patron, tu te souviens ?
Elena : Je n'ai jamais rencontré une équipe qui ne t'aimait pas.
John Ross : Un magnat qui a les mains sales... Qui peut résister à ça ? Alors, tu es avec moi ?
Elena : Je pensais que Bobby avait tort de ne pas nous laisser forer. Nous n'aurions jamais détruit les terres. Mais je ne peux pas forer sur Southfork. Je ne peux pas être au cœur de cette guerre. Je travaillerai sur mes locations sur les terres Henderson. Peut-être que je vais te concurrencer.
John Ross : Tu es une femme indépendante. J'aime ça.
Elena : Je comprends pourquoi tu fais ça. C'est ton droit de naissance. Tu dois te prouver aux yeux de ton père. Mais promets-moi que tu n'as rien à voir avec le vol de Southfork.
John Ross : Tout est de J.R.
Elena : Promets-moi que tu es l'homme que je pense que tu es.
John Ross : Je jure... Rien de ça n'était de moi.
Chez Rebecca & Tommy
Tommy : Encore rien trouvé ?
Rebecca : Hmm.
Chez Marta :
Christopher : Le portier m'a laissé entrer. Il pense que tous les deux nous sommes proches.
John Ross : Que fais-tu là ?
Christopher : J'ai quelque chose à te montrer.
Vidéo enregistré :
Marta : Allons, John Ross. Tu sais ce que j'aime.
John Ross : N'as tu pas dit ? (Gémissements) Je me souviens que tu aimes quand c'est dur.
John Ross : Où as-tu eu ça ?
Christopher : Où penses-tu ? Elle l'a laissé pour toi. Ici. J'aime spécialement la partie où tu appelles Marta par son vrai nom... Veronica. Ce qui prouve que tu savais qui elle était avant que le marché soit fait. Que tu complotais contre mon père.
John Ross : Et alors ? L'acte de propriété n'est pas en mon nom. Montre-le à la police, ton père... Ca ne t'aidera à récupérer Southfork. Ou tu vas juste le mettre au-dessus de ma tête avec Elena ? Tu ferais n'importe quoi pour qu'elle me déteste
Christopher : Je ne lui montrerai pas ça. Je ne voudrais pas lui faire ça. Ca ne défera peut-être pas le marché, mais la fraude et la conspiration... Sont toujours des crimes dans l'état du Texas. Je veux des preuves... Venant de toi et confirmant que J.R est impliqué dans la fraude. Assez de preuves pour annuler le marché ou tu iras en prison.
Rédigé par sabby